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FORUM LIBRE DISCUSSION NR 3
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marektysis
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PostPosted: Fri Jan 12, 2007 6:29 pm    Post subject: FORUM LIBRE DISCUSSION NR 3 Reply with quote

Très chers,

Décidement le pouvoir du Vatican semble plus fort que celui des Francs Maçons ! Une engeance ne désire pas que le complot se sert de Saint Pierre pour le profit de la mafia du mondialisme et mette les souliers de saint Pierre au service de l' antéchrist que Ben oït Xvi semble servir pour réunifier l'anglicanisme et le catholicisme... Marek aurait il tout bon?

Marek

edit Maximus :
Voici les pages 2, 3, 4, 5 et 6 du premier sujet de discussion :
Page 2
Page 3
Page 4
Page 5
Page 6
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marektysis
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Joined: 01 Nov 2006
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PostPosted: Fri Jan 12, 2007 6:52 pm    Post subject: Reply with quote

Pour résumer ce que j'écrivais sur le Forum libre discussion nr 1 et nr 2, le Vatican aidé du mafieux prix Nobel de la paix Shimon Peres et de sa clique shabbataiste ont arrangé avec l'ancien maire de Jérusalem Olmert et actuel premier ministre, le rachat de morceaux de la Ville Sainte, dont notamment une grande partie du mont Sion renfermant le tombeau de David qui est racheté dans le cadre du rachat de la soi disant scène de la sainte cène. Tout ceci a été entérinné lors du dernier voyage de Olmert auprès du Saint Siège vers Noël.
Olmert est sur le point d'être arrêté pour des fins d'interrogatoires par la police d'Israel lors de son retour de Chine, pour son rôle dans la transaction de la banque Leumi.( un scandale de plus)
Le pape qui s'est déclaré au service du nouvel Ordre Mondial, s'est octroyé deux nouveaux conseillers privés dont Kissinger et Sutherland, tous deux membres du Bilderberg et officiers du NWO.

Le pape a loué le NWO l'année dernière.

Le pape s'est mis au service du NOM.

Le livre de la révélation en parle sous la forme de celui qui a un pied sur deux continents et qui avale un livre qui est comme le miel mais qui a ensuite un goût d'amertume.

Il agit maintenant au travers de la maçonnerie allemande pour sceller la 'réconciliation' entre les anglicans et les catholiques. Depuis que j'affirme cela, le topic subit de successives suppressions de ces messages.
Marek sait que cela est la verité ET LE REPETERA CHAQUE JOUR DE CENSURE.


MAREK
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bip bip



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PostPosted: Fri Jan 12, 2007 8:31 pm    Post subject: Reply with quote

Effectivement ça déménage un peu ,d'une fois sur l'autre on ne retrouve pas les posts???? pour suivre ce n'est pas facile . Il y a quelques jours j'ai voulu répondre sur le forum anglais ,hélas en français car si je lis bien l'anglais je l'écris très mal ,patatras mon post est resté une demi-journée et a disparu ,le modérateur m'a fait savoir qu'il l'avait supprimé!sans doute n'est-il pas francophone.
Pour contrebalancer la biographie ésotérique d'Angéla Merkel que j'ai pu lire sur ce site et à laquelle je ne crois pas du tout ,en voilà une autre beaucoup plus crédible .

http://www.voltairenet.org/article144629.html

Angela Merkel est née en 1954 à Hambourg (Allemagne fédérale). Peu après sa naissance, sa famille fait le choix peu commun de passer à l’Est. Son père, pasteur d’une Église luthérienne, fonde bientôt un séminaire en République démocratique allemande et dirige un foyer pour handicapés. Il s’abstient de toute critique publique du régime et jouit d’un statut social privilégié : il dispose de deux voitures et se déplace fréquemment à l’Ouest.

Angela Merkel poursuit de brillantes études, jusqu’à son doctorat en physique. Elle épouse un physicien, Ulrich Merkel, dont elle divorce rapidement. Puis, elle s’installe avec le professeur Joachim Sauer, divorcé comme elle, mais déjà père de deux enfants. Mme Merkel devient chercheuse en physique quantique à l’Académie des sciences.

Simultanément, elle s’engage en politique au sein des Freie Deutsche Jugend (Jeunesses libres allemandes), l’organisation d’encadrement des jeunes dévouée à l’État. Elle y monte en grade au point de devenir secrétaire du département agitation et propagande. Elle est alors l’une des principales expertes en communication politique de la dictature socialiste. À titre professionnel et politique, elle voyage souvent au sein du bloc soviétique, notamment à Moscou, d’autant qu’elle parle couramment le russe.

Bien qu’elle ait été souhaitée et préparée depuis longtemps, la chute du Mur de Berlin, en novembre 1989, surprend toutes les chancelleries. La CIA tente de constituer elle-même la relève en recrutant des responsables de l’ancien régime qui acceptent de servir les États-Unis comme ils le firent pour l’URSS.

Un mois plus tard, Angela Merkel retourne sans veste sans prévenir et passe avec armes et bagages au Demokratischer Aufbruch (Éveil démocratique), un nouveau mouvement inspiré de la démocratie chrétienne ouest-allemande. Elle y occupe immédiatement les mêmes fonctions que précédemment, sauf que le poste est intitulé selon le vocabulaire ouest-allemand : « chargée des relations avec la presse ».

Cependant, il apparaît que le président du Demokratischer Aufbruch, Wolfgang Schnur est un ancien collaborateur de la Stasi, la police politique de la dictature socialiste. Mme Merkel annonce elle-même à la presse cette douloureuse nouvelle qui contraint M. Schnur à démissionner et lui permet de prendre sa place à la présidence du mouvement.

À l’issue des dernières élections législatives de RDA, elle entre au gouvernement de Lothar de Maizière, dont elle devient la porte-parole, bien que Demokratischer Aufbruch n’ait recueilli que 0,9 % des suffrages. Surtout, dans cette période de transition, elle participe activement aux négociations « 2+4 » qui mettent fin au statut quatripartite de Berlin et à l’occupation alliée, ainsi qu’aux négociations en vue de la réunification allemande. Pour éviter, dit-elle, un exode massif de l’Est vers l’Ouest, elle s’applique à faire entrer sans délai la RDA dans l’économie de marché et la zone Mark.

De son côté, son concubin, Joachim Sauer, est engagé par la firme états-unienne Biosym Technology. Il passe un an à San Diego (Californie) au laboratoire de cette compagnie contractante du Pentagone. Il restera par la suite expert auprès d’Accelrys, une autre société de San Diego contactante du Pentagone. De son côté, Angela Merkel perfectionne son anglais qu’elle maîtrise désormais couramment.

Une fois la RDA dissoute dans la RFA et le Demokratischer Aufbruch dans la Christlich Demokratischen Union (CDU - Union démocrate chrétienne), Angela Merkel est élue députée au Bundestag et entre au gouvernement d’Helmut Kohl. Bien que ce dernier soit très à cheval sur les mœurs, il choisit cette jeune femme venue de l’Est, divorcée, sans enfants, et vivant en concubinage, comme ministre de la Famille, de la Jeunesse et de la Condition féminine.
En 14 mois, la responsable communiste de la propagande des Jeunesses de RDA est devenue ministre démocrate chrétienne de la Jeunesse de RFA. Au demeurant, elle laissera un maigre bilan dans son premier ministère.

Poursuivant sa carrière à l’intérieur de la CDU, Angela Merkel tente vainement de se faire élire à la présidence régionale du parti en Brandebourg. Cependant, Lothar de Maizière, qui est devenu vice-président national du parti, est convaincu de lointains rapports avec la police politique est-allemande et doit démissionner. Mme Merkel le remplace.

En 1994, le ministre de l’Environnement, de la Protection de la nature et de la Sécurité nucléaire, Klaus Töpfer, est nommé à la direction du Programme des Nations unies pour l’environnement, à l’issue d’un long bras de fer qui l’oppose à la Fédération des chambres de commerce et d’industrie (DIHK). Cette dernière lui reproche de sous-estimer les réalités économiques. Helmut Kohl nomme alors sa protégée pour le remplacer mettant ainsi fin à la crise. Dès son arrivée au ministère, elle fait le ménage en limogeant les hauts fonctionnaires restés fidèles à son prédécesseur. C’est à cette période qu’elle se lie d’amitié avec son homologue française du moment, Dominique Voynet.

En 1998, le chancelier Kohl fait savoir aux États-Unis son opposition à une intervention internationale au Kosovo. Tandis que les sociaux démocrates de Gerhard Schröder et les Verts de Joschka Fischer comparent Slobodan Milosevic à Adolf Hitler et appellent à la guerre humanitaire.
Le presse atlantiste se déchaîne alors contre le chancelier en lui imputant les difficultés économiques du pays ayant fait suite à la réunification. Les chrétiens démocrates sont balayés par la vague rouge-verte aux élections de septembre 1998. Schröder accède à la Chancellerie et nomme Fischer, ministre des Affaires étrangères.

Cependant, il apparaît qu’Helmut Kohl et sa garde rapprochée ont accepté des financements occultes de la CDU, mais ils refusent de révéler les noms des donateurs par respect de la parole donnée. Angela Merkel publie alors une courageuse tribune libre dans le Frankfürter Allgemeine Zeitung [1] pour se distancier de son mentor. De la sorte, elle contraint Helmut Kohl à se retirer du parti, puis le président de la CDU, Wolfgang Schäuble, à démissionner. Au nom de la morale publique, elle s’empare ainsi de la présidence du parti. Dans la foulée, elle se conforme à la morale démocrate chrétienne en épousant son concubin.

Désormais Angela Merkel est publiquement soutenue par deux groupes de presse.
Elle peut d’abord compter sur Friede Springer, héritière du groupe Axel Springer (180 journaux et magazines dont Bild, Die Welt…). Les journalistes du groupe sont tenus de signer une clause éditoriale spécifiant qu’ils doivent œuvrer au développement des liens transatlantiques et à la défense de l’État d’Israël.
Angela Merkel peut également compter sur son amie Liz Mohn, directrice du groupe Bertelsmann, n°1 des médias en Europe (groupe RTL, groupe Prisma, groupe Random House etc.). Mme Mohn est également vice-présidente de la Fondation Bertelsmann, pilier intellectuel de l’atlantisme européen.

Angela Merkel s’appuie sur les conseils de Jeffrey Gedmin, spécialement dépêché à Berlin pour elle par le clan Bush. Ce lobbyiste a d’abord travaillé à l’American Enterprise Institute (AEI) [2] sous la direction de Richard Perle et de Madame Dick Cheney. Il encouragea vivement à la création de l’euro à parité avec le dollar. Au sein de l’AEI, il a dirigé la Nouvelle initiative atlantique (NAI) qui réunissait tout ce qui compte de généraux et de politiciens américanophiles en Europe. Puis il a participé au Projet pour un nouveau siècle américain (PNAC) et a rédigé le chapitre sur l’Europe dans le programme des néo-conservateurs. Il y indique que l’Union européenne doit rester sous l’autorité de l’OTAN et que cela ne saurait se faire qu’en « décourageant les appels européens à l’émancipation » [3]. Enfin, il est administrateur du Conseil de la Communauté des démocraties (CCD) [4], qui prône une ONU à deux vitesses, et il a pris la direction de l’Institut Aspen de Berlin [5]. Par la suite, il a décliné l’offre de son ami John Bolton [6] pour devenir ambassadeur adjoint des États-Unis à l’ONU de manière à se consacrer exclusivement à l’encadrement d’Angela Merkel.

En 2003, le département d’État confie à Jeffrey Gedmin et Craig Kennedy un vaste programme de « diplomatie publique », c’est-à-dire de propagande, incluant le subventionnement secret de journalistes et relais d’opinion en Europe occidentale [7].

En 2003, le chancelier Gerhard Schröder s’oppose à l’opération anglo-saxonne en Irak. Angela Merkel publie alors une courageuse tribune dans le Washington Post [8] dans laquelle, elle réfute la doctrine Chirac-Schröder d’indépendance de l’Europe, affirme sa gratitude et son amitié pour « l’Amérique », et soutient la guerre.

En mai 2004, elle brouille les cartes en imposant l’élection à la présidence de l’Allemagne fédérale du banquier Horst Köhler, principal rédacteur du Traité de Maastricht et artisan de l’euro, puis président de la BERD et directeur du FMI. Puis, elle lance une campagne « patriotique » contre l’islamisme radical.

Tout au long de la campagne législative de 2005, elle stigmatise la montée du chômage et l’incurie des sociaux-démocrates à la juguler. La CDU est alors créditée d’une avance de 21 points dans les sondages. C’est alors que son conseiller occulte, Jeffrey Gedmin, l’interpelle dans une lettre ouverte publiée par Die Welt. Après avoir critiqué le modèle économique allemand, il écrit : « Avant de faire avancer le pays, vous devez vaincre intellectuellement ces individus nostalgiques qui traînent les pieds. Si Sarkozy succède à Chirac, peut-être que la France connaîtra un essor. Il serait regrettable que l’Allemagne continue de régresser ». Répondant à cette invitation, Angela Merkel révèle enfin ses solutions. Elle met en avant l’un de ses conseillers, l’ex-juge à la Cour constitutionnelle Paul Kirchhof, et l’équipe de l’Initiative Neue Soziale Marktwirtschaft (l’initiative pour la nouvelle économie sociale de marché) [9]. Elle annonce la suppression de la progressivité de l’impôt sur le revenu : le taux sera le même pour ceux qui n’ont que le nécessaire et ceux qui vivent dans le superflu. Le chancelier sortant, Gerhard Schröder critique durement ce projet lors d’un débat télévisé. L’avance de la CDU est pulvérisée. En définitive, la CDU obtient 35 % des suffrages et le SPD 34 %, le reste se dispersant entre petites formations. Les Allemands ne veulent plus de Schröder, mais pas plus de Merkel. À l’issue de longues et pénibles tractations, une Grande coalition est constituée : Angela Merkel est chancelière, mais elle doit céder la moitié des ministères à son opposition.

Elle impose la participation d’un contingent allemand à la force multinationale comlmandée par les États-Unis en Afghanistan. Puis, lors de l’intervention israélienne au Liban, elle impose un déploiement naval allemand au sein de la FINUL en déclarant : « Si la raison d’être de l’Allemagne est de garantir le droit à l’existence d’Israël, nous ne pouvons pas dire, maintenant que cette existence est menacée, que nous ne faisons rien ».

Depuis le 1er janvier 2007, Madame Merkel préside l’Union européenne. Elle ne fait pas mystère de son intention de contraindre la France et les Pays-Bas à accepter l’équivalent du projet de Traité constitutionnel qu’ils ont rejeté par référendum ; ni de son intention de relancer le projet de fusion entre la zone de libre-échange nord-américaine et la zone de libre-échange européenne pour créer un « grand marché transatlantique », selon l’ancienne formule de Sir Leon Brittan.

Thierry Meyssan
Journaliste et écrivain, président du Réseau Voltaire.
Les articles de cet auteur
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marektysis
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PostPosted: Fri Jan 12, 2007 11:21 pm    Post subject: Reply with quote

Merci cher bip bip,

En effet si tu écris en français, il est de bon aloi de poster sur le topic en français mais pas en anglais. Pour ma part , te connaissant, il ne me viendrait pas à l'idée de supprimer ton post mais de le dérouter vers le topic français.

En ce qui concerne l'info qui gêne le MI5 ou le MI6, elle a été expliquée en détail à Tony Gosling qui a compris que le forum était hacké par les forces du désordre mondial anglais qui ne souhaitaient pas voir apparaitre le rôle symbolique joué par le souverain britannque, Grand maître de la FM et de l' église anglicane à la fois, ce qui a pousse Ben Oît Xvi a cèder la responsabilité de la Chiesa di Roma dans l'Inquisizitionne dell organizationne del Temple a Pariggi. Sabbiamo che nuostro uomo a estato uno del responsabile del succesore del inquisizionne a traverso la '"DOCTRINE ET LA FOI'.

Dunque esta un materiale difficile , et spero che vi avez compris ce dontil retournait, à travers un pope franc mazzone et aperti a tutti i doctrini novelli del nuove ordine del mundo....


le grand maître de la Loge du Vatican se distingue donc enfin... Smile


Marek
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marektysis
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PostPosted: Sat Jan 13, 2007 12:25 am    Post subject: Reply with quote

Je remercie bip bip au travers de sa bonne connaissance du russe et de ton message en droite provenance de Voltaire.net.

Pour ma part, je me dois de prendre la situation actuelle reconnue par Tony gossling comme une preuve mnaifeste que nous traitons des vérités qui sont cachées. Comme nous allons souvent droit au but nous sommes toujours surpris d'être censurés et menacés mais cela est logique, les autres représentants de la presse ne traitent pas ces données une fois qu'ils savent que c'est 'dangeros'. C'est notre vocation de soulever les vérités une fois qu'elles sont ' dangeros' et de vous les mettre en pleine poire. OK vous avalez cela comme un spectacle, mais nous risquons plus que vous et certains sites font payer pour des infos exclusives que vous ne trouverez pas ailleurs. CEci se passe dans un climat hostile à toute liberté.

Nous ne pouvons vous apporter ce genre d'info qu' à condition que nous, hommes de presse ou de liberté soyons soutenus et arraché par notre prestiqe et contenance de la geole qui finira par nous attendre.

Vous lecteurs et consommateurs, êtes vous prêts à défendre notre droit à vous informer ou bien vous contenterez vous de nous voir plonger dans cette prison en vous disant: c'est fini, plus rien attendre de ces bêtes de cirque? Et de prier pour que le Grand Maître de la Loge du Vatican nous arrache des lions qui vont nous bouffer...

Votre avenir et le nôtre dépend de ces réponses à ces légitimes attentes.Si nous devons plier, c'est parce que vous auriez accepté de plier.
Je crois que par rapport à des pouvoirs QUI MANIFESTEMENT VOUS ONT TROMPE ( et je pense au christiannsime à présent représenté par l' Antéchrist BEN OIT XVI ) IL EST TEMPS DE REAGIR.

MArek, en pure réflexion.

Solve et coagulat. ( après la dissolution, la coagulation)
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marektysis
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PostPosted: Sat Jan 13, 2007 1:24 am    Post subject: Reply with quote

ET cela suit,

Dans son dernier message de la liste PEPIS, Tony mentionne le piratage dont nous avons été l'objet et en donne la raison.
SAns mentionner mes souverains qui sont au sommet de la pyramide, ce qui est logique pour un britannique.
Bref les collègues de MI5 et MI6 découvrent le couronne à condition qu'on en parle. Ce qui étonnerait.
Donc, personne n'en parle mais tout le monde sait.
Voilà le travail de marek.( de dévoiler ce qui devait être tu)
Un travail qui existe dans l' hypocrisie de gens qui savent mais ne disent qu'ils n'en savent rien.
Catholiques, prenez en bonne note. Votre pape est Franc Maçon et dirige la Loge du Vatican. Ils ont tué Jean Paul Ier et le reste a été acquis sur la durée.


Marek Smile


Last edited by marektysis on Sat Jan 13, 2007 9:02 pm; edited 1 time in total
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marektysis
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PostPosted: Sat Jan 13, 2007 1:56 am    Post subject: Reply with quote

vous pourriez m'en vouloir pour des raisons de croyance et de foi. MAis du côté de la vérité je tombe sur des tas de mensonge. Je n'en veux à personne ni à aucune foi, sauf que je constate que depuis le décès du défunt Jean Paul II à qui je pouvais reprocher des actes basés sur l'enseignement asiate de Brezinski, qui reposait sur l'article de la libération de la Pologne ( qui a étté avérée par travail commun entre les USA et le Vatican) , nous arrivons maintenant àune foi basée sur le NWO grâce à Kissinger et Sutherland.

MArek


Last edited by marektysis on Sat Jan 13, 2007 9:05 pm; edited 1 time in total
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vicflame
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PostPosted: Sat Jan 13, 2007 8:26 pm    Post subject: Les preuves... Reply with quote

Chers amis,

Etant chrétien et ne partageant donc pas toutes les vues religieuses de Marek, je pense qu'il est cependant CAPITAL de reposter les articles qui PROUVENT que Benoît XVI est bien impliqué dans le projet de rachat d'un emplacement sacré situé sur le mont Sion, ce qui justifie la question que Marek posait au départ du topic qui a désormais disparu par un mauvais tour (hacking de ce forum) de la part des crapules du N.O.M. : LE PAPE DEVIENT-IL SIONISTE ??? Shocked Twisted Evil Question Confused

Voici donc, REPOSTES POUR VOUS, les articles (en anglais) sur lesquels cette accusation repose... Wink

Bien entendu, il reste d'autres articles à reposter, et qui prouvent d'autres points cités par Marek en début de ce topic... Je demande à ce sujet de l'aide de la part des membres du forum. Exclamation

Bonne lecture, bonne réflexion, ET BONNE INSURRECTION, SURTOUT ! Mad Vic.


Source : http://www.israelnationalnews.com/news.php3?id=117363

PM Olmert to Meet Pope to Discuss Mount Zion Holy Sites

13:13 Dec 14, '06 / 23 Kislev 5767

(IsraelNN.com) Prime Minister Ehud Olmert is due to travel to Italy and the Vatican on Wednesday on the second leg of his European tour. He will hold talks with Italian Prime Minister Romano Prodi and other top officials. His agenda is expected to include the crisis in Lebanon, with Italy being the largest contributor to a UN peacekeeping force there, as well as how to deal with the Arabs, Syria and Iran.

He will also have a private meeting with Pope Benedict XVI, during which he will invite the pontiff to visit Israel. Olmert will reportedly discuss changing the status of the Crusader-era building on Mount Zion in Jerusalem known as the Coenaculum. The holy site includes the Tomb of King David, the room where Christiantiy says Jesus and his disciples shared their Last Supper, as well as several mosques.




Source : http://www.israelnationalnews.com/news.php3?id=117391

Pope Meets Olmert, Praises ´Turn-the-Other-Cheek´ Policy

11:01 Dec 14, '06 / 23 Kislev 5767

by Ezra HaLevi

Prime Minister Ehud Olmert met with Catholic Pope Benedict XVI Wednesday. The Christian leader praised Israel’s policy of adhering to a cease-fire deal despite continued attacks on its citizens.

Olmert urged the Pope to encourage Christians to take a stance against Holocaust denial, in light of Iran’s state-sponsored conference this week questioning the reality of the Nazi genocide.

The Vatican released a statement directed at the Iranian conference on Tuesday, saying, "The Shoah [Holocaust] was a great tragedy before which we cannot remain indifferent. The memory of those horrible events must remain as a warning for people's consciences."

The Pope lauded Israel’s decision not to respond to continued missile attacks on Jewish towns in the western Negev. He also praised Olmert’s visit to Germany.

Olmert's office said that Olmert and the Pontiff discussed the Vatican’s land holdings in Israel - including, presumably, the Catholic Church’s aims to develop a center on Mount Zion. Click here ( http://www.israelnationalnews.com/news.php3?id=117363 ) to read Arutz-7's coverage of the Vatican’s goals for Mount Zion.

According to Olmert’s office, the prime minister invited the Pope to visit Israel, saying “his very presence would increase peace in Israel.” Benedict said he would come to Israel “when things calm down.”

The Catholic world leader recently visited Turkey in an attempt to placate outraged Muslims following statements he made quoting an opinion that Islam is violent.

Following his meeting with the Pope, which lasted 35 minutes instead of the scheduled 10-minute conversation, Olmert met with Italian Prime Minister Romano Prodi.

Israel and the Vatican established diplomatic relations in 1990.
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marektysis
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PostPosted: Sat Jan 13, 2007 8:37 pm    Post subject: Reply with quote

Merci Vic pour le repostage. Ils serait bien que tu repostes la série d' articles que tu avais mis sur le topic. Pour ma part, j'ai les archives du forum ce dernier mois, mais cela nécessite le travail d'un bénédictin que je ne suis pas. Je reposterai les articles les plus importants que je vais dénicher dans ce fourre tout. En attendant, je reposte un article important sur Bilderberg. Evidemment mes réactions sont un peu excessives, mais il faut aussi comprendre...Marek- désolé pour ceux qui ont pu se sentir blessé.


BILDERBERG 1954

Chers amis, je vais reposter ce texte que j’aime bien en attendant de poursuivre mes articles….
Vous allez, même si vous avez lu mes informations depuis, apprendre beaucoup de choses cachées.


La CIA finance la construction européenne

De 1949 à 1959, en pleine guerre froide, les Américains, par l'intermédiaire
de leurs services secrets et du Comité pour l'Europe unie, versent
l'équivalent de 50 millions de dollars actuels à tous les mouvements
pro-européens, parmi lesquels ceux du Britannique Winston Churchill ou du
Français Henri Frenay. Leur but, contenir la poussée soviétique...

Par Rémi Kauffer *


A 82 ans, Henri Frenay, le pionnier de la Résistance intérieure, fondateur
du mouvement Combat, arbore une forme intellectuelle éblouissante malgré sa
surdité de l'oreille droite et sa récente opération de l'estomac. Pourtant,
il n'a plus que trois mois à vivre. En ces jours de mai 1988, il me parle de
l'Europe dans son appartement de Boulogne-sur-Seine. De cette Europe
fédérale dont il a rêvé en vain entre 1948-1954. De la dette aussi que, en
cas de succès, le Vieux Continent aurait contracté envers les Américains,
ceux notamment du « Comité ». Et d'insister une fois, deux fois, dix fois,
tandis que moi, je m'interroge : pourquoi diable ce mystérieux « Comité »
revient-il à une telle fréquence dans nos conversations ? Pourquoi ? Mais
parce que Frenay me confie, avec il est vrai d'infinies précautions de
langage, son ultime secret : l'aide financière occulte de la CIA via
l'American Committee for United Europe - le Comité - à l'Union européenne
des fédéralistes dont il a été le président. Pour reconstituer cette filière
inédite, il me faudra une quinzaine d'années. Un jeu qui en valait la
chandelle puisqu'il me permet d'ouvrir, pour les lecteurs d' Historia, la
porte d'un des compartiments les plus secrets de la guerre froide...

Tout commence à l'automne 1948. Déjà coupée en deux, l'Europe vit sous la
menace d'une invasion totale par l'armée rouge. Au « coup de Prague » en
février, vient de succéder en juin le blocus de Berlin. Un petit cénacle de
personnalités de l'ombre jette alors les bases de l'American Committee for
United Europe, l'ACUE - son existence sera officialisée le 5 janvier 1949 à
la maison de la Fondation Woodrow-Wilson de New York. Politiques, juristes,
banquiers, syndicalistes vont se mêler au sein de son conseil de direction.
De hautes figures gouvernementales aussi comme Robert Paterson, le
secrétaire à la Guerre ; James Webb, le directeur du budget ; Paul Hoffman,
le chef de l'administration du plan Marshall ; ou Lucius Clay, le «
proconsul » de la zone d'occupation américaine en Allemagne.

Bien tranquilles, ces Américains-là ? Non, car la véritable ossature de
l'ACUE est constituée d'hommes des services secrets. Prenez son président,
William Donovan. Né en 1883 à Buffalo, cet avocat irlando-américain au
physique de bouledogue, surnommé « Wild Bill » par ses amis, connaît bien
l'Europe. En 1915, il y remplissait déjà une mission humanitaire pour le
compte de la Fondation Rockefeller. Deux ans plus tard, Donovan retrouvait
le Vieux Continent pour y faire, cette fois, une Grande Guerre magnifique.
Redevenu civil, « Wild Bill » va se muer en missus dominicus du gouvernement
américain. Ses pas d'émissaire officieux le portent vers l'Europe pour des
rencontres parfois imprévues. En janvier 1923, alors qu'ils goûtent un repos
bien mérité, sa femme Ruth et lui devront ainsi subir une soirée entière les
vociférations d'un autre habitué de la pension Moritz de Berchtesgaden.
Dix-sept ans plus tard, l'agité, un certain Adolf Hitler, s'est rendu maître
de la partie continentale de l'Europe, et c'est « Wild Bill » que Franklin
Roosevelt, inquiet, dépêche à Londres s'enquérir auprès de Winston Churchill
du potentiel britannique face à l'avancée nazie.

En juin 1942, Donovan, homme de confiance du président démocrate pour les
affaires spéciales, crée l'Office of Strategic Services (OSS), le service
secret américain du temps de la Seconde Guerre mondiale dont il devient le
chef et qu'il quittera à sa dissolution, en septembre 1945, sans perdre le
contact avec l'univers du renseignement : « Wild Bill » tisse des liens
privilégiés avec la Central Intelligence Agency, la CIA, créée
officiellement le 15 septembre 1947 par une loi sur la sécurité nationale
signée par le successeur de Roosevelt, Harry Truman.

Prenez le vice-président de l'ACUE Walter Bedell Smith, ancien chef
d'état-major d'Eisenhower pendant la Seconde Guerre mondiale puis
ambassadeur des Etats-Unis à Moscou. A partir d'octobre 1950, celui que ses
amis surnomment le « Scarabée » ( beetle en anglais) va prendre les
commandes de la CIA. 1950, c'est justement l'année où des universitaires
comme Frederick Burkhardt et surtout William Langer, historien à Harvard,
lancent la section culturelle de l'ACUE. Ces deux proches de Donovan ont
servi autrefois dans les rangs de l'OSS. Langer en a dirigé le service
Recherche et Analyse et, excellent connaisseur de la politique française, a
même commis après-guerre un ouvrage savant qui s'efforçait de dédouaner Le
Jeu américain à Vichy (Plon, 1948).

Prenez surtout Allen Dulles. A l'été 1948, c'est lui qui a « inventé » le
Comité avec Duncan Sandys, le gendre de Churchill, et George Franklin, un
diplomate américain. Principal associé du cabinet de juristes Sullivan &
Cromwell, Dulles n'impressionne guère de prime abord avec ses fines
lunettes, ses éternelles pipes de bruyère et ses vestes en tweed. Sauf
qu'avec ce quinquagénaire, un maître espion entre dans la danse.

Retour à la case Seconde Guerre mondiale. Chef de l'OSS à Berne, Dulles noue
en février 1943 des contacts avec la délégation de Combat en Suisse. Un
temps, il assurera même le financement du mouvement clandestin. « Coup de
poignard dans le dos du général de Gaulle », s'insurge Jean Moulin au nom de
la France libre. « Survie de la Résistance intérieure menacée d'étranglement
financier », rétorque Frenay. Pensant d'abord à ses camarades dénués de
moyens, aux maquisards en danger, il ne voit pas pourquoi Combat devrait se
priver d'un argent allié versé, c'est convenu, sans contrepartie politique.
Cette « affaire suisse » va empoisonner un peu plus encore ses rapports avec
Moulin.

En 1946, Dulles démissionne des services secrets... pour en devenir aussitôt
l'éminence grise, prenant une part prépondérante à la rédaction du texte de
loi présidentiel sur la sécurité nationale. Cofondateur à ce titre de la CIA
(pour les initiés : l'Agence ou mieux, la Compagnie), Dulles pense qu'en
matière d'action clandestine, privé et public doivent conjuguer leurs
forces. C'est lui qui a déjà inspiré, par l'intermédiaire de ses amis du
Brook Club de New York, le versement des subsides de grosses sociétés
américaines à la démocratie chrétienne italienne menacée par un parti
communiste surpuissant. En 1950, il va reprendre officiellement du service
comme bras droit du Scarabée d'abord, comme son successeur à la tête de la
CIA ensuite - de février 1953 à septembre 1961. Record de longévité d'autant
plus impressionnant que son frère aîné John Forster Dulles, restera, lui,
ministre des Affaires étrangères de 1953 à sa mort de maladie en mai 1959.

Etonnant creuset que l'ACUE, où des personnalités de la haute société et/ou
de la CIA côtoient les dirigeants de la puissante centrale syndicale
American Federation of Labor, l'AFL, dont ils partagent l'aversion du
communisme. Exemples : David Dubinsky, né en 1892 à Brest-Litovsk, en
Russie, dirige le Syndicat international de la confection pour dames (ILGWU)
: 45 000 adhérents à son arrivée en 1932, 200 000 à la fin des années 1940 !
Ennemi acharné des nazis hier (les syndicalistes proches de l'ACUE sont
presque tous juifs), c'est aux commies , les « cocos », qu'il en veut
dorénavant. Jay Lovestone aussi. Conseiller politique de l'AFL, ce Lituanien
d'origine sait de quoi il parle : avant sa brutale exclusion puis sa lente
rupture avec le marxisme, il fut, entre 1925 et 1929, le secrétaire général
du PC américain ! Autre recrue de choix du Comité, Arthur Goldberg, le
meilleur juriste de l'AFL. Futur secrétaire au Travail du président Kennedy
puis juge à la Cour suprême, Goldberg, né en 1908, a dirigé l'aile syndicale
de l'OSS. A ce titre, il fut en son temps le supérieur hiérarchique d'Irving
Brown, son cadet de deux ans. Brown, représentant de l'AFL pour l'Europe et
grand dispensateur de dollars aux syndicalistes modérés du Vieux Continent.
Puisant dans les fonds secrets de la toute jeune CIA, laquelle finance
depuis 1946 toutes les opérations anticommunistes de l'AFL, ce dur à cuire
ne ménage pas, par exemple, son soutien à Force ouvrière, la centrale
syndicale née fin 1947 de la scission de la CGT (lire « Derrière Force
ouvrière, Brown, l'ami américain » dans Historia n° 621 de décembre 1997).
Pure et dure, la ligne Brown contraste d'ailleurs avec celle, plus nuancée,
de la CIA. A la Compagnie, on aurait préféré que les non-communistes restent
dans le giron de la CGT, même contrôlée par le PCF...

C'est qu'au-delà des hommes, il y a la stratégie d'ensemble. Face à l'Union
soviétique, Washington développe deux concepts clés : le containment
(l'endiguement) et plan Marshall. L'idée du containment , revient à un
diplomate russophone, George Kennan, qui la développe dès juillet 1947 dans
un article de la revue Foreign Affairs : « L'élément majeur de la politique
des Etats-Unis en direction de l'Union soviétique doit être celui d'un
endiguement à long terme, patient mais ferme, des tendances expansionnistes
russes. »

Le plan Marshall, lui, porte la marque de son inventeur le général George
Marshall, chef d'état-major de l'US Army pendant la guerre, et désormais
ministre des Affaires étrangères du président Truman. En apportant une aide
massive aux pays d'Europe ruinés, les Etats-Unis doivent, selon lui, faire
coup double : un, couper l'herbe sous le pied des partis communistes par une
hausse rapide du niveau de vie dans les pays concernés ; deux, empêcher leur
propre industrie de sombrer dans la dépression en lui ouvrant de nouveaux
marchés.

Pour le tandem Marshall-Kennan, pas de meilleur outil que la CIA (lire
l'interview d'Alexis Debat, page 51). Et c'est naturellement un autre ancien
de l'OSS, Franck Wisner Jr, qu'on charge de mettre sur pied un département
autonome spécialisé dans la guerre psychologique, intellectuelle et
idéologique, l'Office of Policy Coordination ! Si ce bon vieux « Wiz » ne
fait pas partie du Comité, ses hommes vont lui fournir toute la logistique
nécessaire. Mais chut ! c'est top secret...

L'ACUE allie sans complexe une certaine forme de messianisme américain avec
le souci de la défense bien comprise des intérêts des Etats-Unis.
Messianique, cette volonté bien ancrée de mettre le Vieux Continent à
l'école du Nouveau Monde. Phare de la liberté menacée, l'Amérique a trouvé,
la première, la voie d'une fédération d'Etats, succès si resplendissant que
l'Europe n'a plus qu'à l'imiter... Cet européanisme made in Washington
comporte sa part de sincérité : « Ils m'appellent le père du renseignement
centralisé, mais je préférerais qu'on se souvienne de moi à cause de ma
contribution à l'unification de l'Europe », soupire ainsi Donovan en octobre
1952.

De sa part de calcul aussi. Car en décembre 1956, trois mois avant sa mort,
le même Donovan présentera l'Europe unie comme « un rempart contre les
menées agressives du monde communiste ». En d'autres termes, un atout
supplémentaire de la stratégie américaine conçue par Marshall, Kennan et
leurs successeurs : construire l'Europe, c'est remplir un vide continental
qui ne profite qu'à Staline, donc, en dernier ressort, protéger les
Etats-Unis.

Ajoutons une troisième dimension. Dans l'esprit des hommes de la Compagnie,
rien de plus noble qu'une action clandestine au service de la liberté. Tout
officier de la CIA le sait : les Etats-Unis sont nés pour une bonne part du
soutien des agents de Louis XVI, Beaumarchais en tête, aux insurgés
nord-américains. Ainsi l'opération American Committee, la plus importante,
et de loin menée, par l'Agence en Europe pendant la guerre froide, se
trouve-t-elle justifiée par l'Histoire.

Pour chaleureuse qu'elle soit, l'amitié franco-américaine ne saurait
toutefois distendre le « lien spécial » entre Grande-Bretagne et Etats-Unis.
En foi de quoi, Comité et Compagnie tournent d'abord leur regard vers
Londres. Hélas ! Churchill, battu aux législatives de 1945, ronge ses
griffes dans l'opposition. Le nouveau secrétaire d'Etat britannique aux
Affaires étrangères, Ernest Bevin, a bien proclamé le 2 janvier 1948 aux
Communes : « Les nations libres d'Europe doivent maintenant se réunir. »
N'empêche que ses collègues du cabinet travailliste et lui repoussent avec
horreur la perspective d'une véritable intégration continentale. Non pas que
Bevin craigne de s'affronter aux communistes : deux jours après son discours
de janvier, il créait un organisme clandestin de guerre idéologique,
l'Information Research Department. Ce même IRD qui, jugeant La Ferme des
animaux et 1984 plus efficaces que mille brochures de propagande, va
contribuer à diffuser partout dans le monde les oeuvres de George Orwell.
Mais la carte Europe unie, alors là, non !

Cette carte, Churchill la joue-t-il de son côté par conviction profonde ou
par aversion pour ses rivaux politiques de gauche ? Le fait est que le 19
septembre 1946 à Zurich, le Vieux Lion appelle à un axe
anglo-franco-allemand, élément majeur selon lui d'une « espèce d'Etats unis
d'Europe ». Qu'en mai 1948, Duncan Sandys, taille aux mesures de son homme
d'Etat de beau-père le Congrès européaniste de La Haye. Qu'en octobre 1948,
Churchill crée l'United European Movement - le Mouvement européen. Qu'il en
devient président d'honneur aux côtés de deux démocrates-chrétiens,
l'Italien Alcide De Gasperi et l'Allemand Konrad Adenauer, et de deux
socialistes, le Français Léon Blum et le Belge Paul-Henri Spaak.
Malheureusement pour les « amis américains », cette tendance « unioniste »
ne propose, à l'exception notable de Spaak, que des objectifs européens
limités. Reconstruction économique et politique sur une base démocratique,
d'accord, mais sans transfert, même partiel, de souveraineté.

Le Comité et la tendance « fédéraliste », dont Henri Frenay émerge comme la
figure emblématique, veulent, eux, aller beaucoup plus loin. Aux heures les
plus noires de la Seconde Guerre mondiale, Frenay, patriote mondialiste, a
conçu l'idée d'un Vieux Continent unifié sur une base supranationale. En
novembre 1942, révélera quarante ans plus tard Robert Belot dans le
remarquable travail sur Frenay qui vient de lui valoir l'habilitation à
diriger des recherches à l'Université, le chef de Combat écrivait au général
de Gaulle qu'il faudrait dépasser l'idée d'Etat-Nation, se réconcilier avec
l'Allemagne après-guerre et construire une Europe fédérale. Logique avec
lui-même, Frenay se jette dès 1946 dans cette croisade européaniste aux
côtés d'Alexandre Marc. Né Lipiansky à Odessa en 1904, ce théoricien du
fédéralisme a croisé la trajectoire de Frenay à Lyon en 1941, puis
après-guerre. A rebours de l'européanisme de droite inspiré des thèses
monarchistes maurrassiennes ou du catholicisme social, les deux amis
s'efforcent de gauchir le fédéralisme français alors fort de « plusieurs
dizaines de milliers d'adhérents », ainsi que me l'assurera l'ancien chef de
Combat en 1988.

Orientée à gauche, l'Union européenne des fédéralistes, l'UEF, est créée fin
1946. Elle va tenir son propre congrès à Rome en septembre 1948. Frenay en
devient le président du bureau exécutif, flanqué de l'ex-communiste italien
Altiero Spinelli, prisonnier de Mussolini entre 1927 et 1937 puis assigné à
résidence, et de l'Autrichien Eugen Kogon, victime, lui, du système
concentrationnaire nazi qu'il décortiquera dans L'Etat SS (Le Seuil, rééd.
1993). A ces trois dirigeants d'atténuer le profond malaise né de la
participation de nombreux membres de l'UEF au congrès de La Haye, où
Churchill et son gendre Sandys les ont littéralement roulés dans leur farine
« unioniste ».

Faut-il choisir entre le Vieux Lion et le pionnier de la Résistance
intérieure française à l'internationalisme si radical ? Perplexité au
Comité, donc à la CIA. Pour Churchill, sa stature d'homme d'Etat, d'allié de
la guerre, sa préférence affichée pour le « grand large », les Etats-Unis ;
contre, son refus acharné du modèle fédéraliste si cher aux européanistes
américains et bientôt, ses violentes querelles avec le très atlantiste
Spaak. En mars 1949, Churchill rencontre Donovan à Washington. En juin, il
lui écrit pour solliciter le versement de fonds d'urgence (très riche à
titre personnel, l'ancien Premier ministre britannique n'entend pas puiser
dans sa propre bourse). Quelques jours plus tard, Sandys appuie par courrier
la demande de son beau-père : de l'argent, vite, sinon le Mouvement européen
de Churchill s'effondre. Comité et CIA, la principale bailleuse de fonds,
débloquent alors une première tranche équivalant à un peu moins de 2
millions de nos euros. Elle permettra de « préparer » les premières réunions
du Conseil de l'Europe de Strasbourg, qui associe une assemblée consultative
sans pouvoir réel à un comité des ministres statuant, lui, à l'unanimité.

Pour soutenir leurs partenaires du Vieux Continent, ACUE et CIA montent dès
lors des circuits financiers complexes. Les dollars de l'oncle Sam -
l'équivalent de 5 millions d'euros entre 1949 et 1951, le même montant
annuel par la suite - proviennent pour l'essentiel de fonds alloués
spécialement à la CIA par le Département d'Etat. Ils seront d'abord répartis
sous le manteau par les chefs du Mouvement européen : Churchill, son gendre,
le secrétaire général Joseph Retinger, et le trésorier Edward
Beddington-Behrens. En octobre 1951, le retour de Churchill à Downing
Street, résidence des premiers ministres anglais, ne tarira pas ce flot :
entre 1949 et 1953, la CIA va en effet verser aux unionistes l'équivalent de
plus de 15 millions d'euros, à charge pour eux d'en redistribuer une partie
à leurs rivaux de la Fédération, la tendance de droite du fédéralisme
français, laquelle reverse ensuite sa quote-part à l'UEF. Sommes
substantielles mais sans commune mesure avec la manne que l'appareil
stalinien international, le Kominform, investit au même moment dans le
financement souterrain des PC nationaux et des innombrables « fronts de
masse » : Fédération syndicale mondiale de Prague, Mouvement de la paix,
mouvements de jeunes, d'étudiants, de femmes...

Pour Frenay, c'est clair : l'Europe fédérale constitue désormais le seul
bouclier efficace contre l'expansionnisme communiste. Mais comment aller de
l'avant quand le nerf de la guerre manque si cruellement ? L'UEF n'est pas
riche. Son président encore moins, dont la probité est reconnue de tous -
après son passage au ministère des Prisonniers, Déportés et Réfugiés,
Frenay, ancien officier de carrière sans fortune personnelle, a quitté
l'armée au titre de la loi Diethelm de dégagement des cadres. Comme au temps
de « l'affaire suisse », le salut financier viendra-t-il de l'allié
américain ? Oui, assurent dès l'été 1950 les hommes de l'ACUE à un
représentant français de l'UEF en visite à New York. Conforme à la position
officielle du gouvernement américain en faveur de l'intégration européenne,
leur aide ne sera soumise à aucune contrepartie politique ou autre,
condition sine qua non aux yeux d'Henri Frenay. Et de fait, à partir de
novembre 1950, l'ACUE va financer secrètement à hauteur de 600 000 euros
l'une des initiatives majeures de Frenay et des fédéralistes de gauche : la
création à Strasbourg, en parallèle du très officiel Conseil de l'Europe,
d'un Congrès des peuples européens, aussi appelé Comité européen de
vigilance.

S'associeront à ce projet des socialistes (Edouard Depreux), des religieux
(le père Chaillet, fondateur de Témoignage chrétien ), des syndicalistes,
des militants du secteur coopératif, des représentants du patronat et
même... des gaullistes tels Michel Debré ou Jacques Chaban-Delmas. Mal
conçue médiatiquement, l'affaire échoue de peu. Raison de plus pour
accentuer le soutien financier, oeuvre du secrétaire général de l'ACUE,
Thomas Braden. Connu pour ses opinions libérales, cet ami du peintre Jackson
Pollock, n'a pas hésité quand Donovan, son ancien patron à l'OSS, lui a
demandé de quitter la direction du musée d'Art moderne de New York.

En juillet 1951, Frenay effectue à son tour le voyage des Etats-Unis sous
les auspices du Congrès pour la liberté de la culture - une organisation que
nous retrouverons bientôt. L'occasion de rencontrer les dirigeants du Comité
et ceux de la Fondation Ford (mais pas ceux de la CIA avec lesquels il
n'entretiendra jamais de rapports directs) pour leur faire part des besoins
matériels des fédéralistes. Message reçu « 5 sur 5 » par les Américains...

A cette date, Braden ne figure plus parmi les dirigeants officiels de
l'ACUE. En vertu du principe des vases communicants, l'agent secret esthète
vient en effet de rejoindre Dulles à la CIA. Les deux hommes partagent cette
idée de bon sens : face aux communistes, ce ne sont pas les milieux
conservateurs qu'il faut convaincre, mais la gauche antistalinienne
européenne, dont Frenay constitue un des meilleurs représentants. Braden va
plus loin : « Comme l'adversaire rassemblé au sein du Kominform,
structurons-nous au plan mondial par grands secteurs d'activité :
intellectuels, jeunes, syndicalistes réformistes, gauche modérée... »,
plaide-t-il. D'accord, répond Dulles. Naît ainsi la Division des
organisations internationales de la CIA. Dirigée par Braden, cette direction
centralise, entre autres, l'aide de la Compagnie via l'ACUE aux fédéralistes
européens. En 1952, l'American Committee for United Europe finance ainsi
l'éphémère Comité d'initiative pour l'assemblée constituante européenne,
dont Spaak sera président et Frenay, le secrétaire général.

Brouillés avec la « Fédération », leur rivale de droite qui servait
jusque-là d'intermédiaire pour le versement des fonds CIA-ACUE par le
truchement du mouvement churchillien, les amis de Frenay sont très vite au
bord de l'asphyxie. Pour parer à l'urgence, Braden, virtuose du financement
souterrain au travers de fondations privées plus ou moins bidon, va, cette
fois, mettre en place une procédure de versements directs aux fédéralistes
de gauche par des antennes para-gouvernementales américaines. A Paris,
plaque tournante des opérations de la CIA en Europe avec Francfort, on
opérera par le biais de l'Office of Special Representative, conçu à
l'origine pour servir d'interface avec la toute jeune Communauté européenne
du charbon et de l'acier (Ceca), ou de l'US Information Service (USIS). Par
la suite, un bureau ACUE proprement dit sera ouvert.

Comme Jean Monnet, président de la Ceca, Frenay caresse, en cette année
1952, l'idée d'une armée européenne, pas décisif vers l'Europe politique
selon lui. L'ACUE approuve chaudement. Prévue par le traité de Londres de
mars 1952, cette Communauté européenne de défense comprendrait - c'est le
point le plus épineux -, des contingents allemands. Reste à faire ratifier
le traité par les parlements nationaux. Frenay s'engage avec enthousiasme
dans ce nouveau combat. Pour se heurter, une fois encore, à de Gaulle, qui
refuse la CED au nom de la souveraineté nationale et, déjà, du projet
ultrasecret de force atomique française, ainsi qu'aux communistes, hostiles
par principe à tout ce qui contrarie Moscou. D'après les éléments recueillis
par Robert Belot - dont la biographie du chef de Combat devrait sortir ce
printemps au Seuil -, Frenay demandera même à l'ACUE de financer l'édition
d'une brochure réfutant... les thèses gaullistes sur la CED.

Staline meurt en mars 1953. L'année suivante, Cord Meyer Jr, un proche de la
famille Kennedy, remplace Braden à la tête de la Division des organisations
internationales de la CIA. Mais 1954 verra surtout cet échec cuisant des
européanistes : l'enterrement définitif de la CED. Découragé, Frenay
abandonne alors la présidence de l'Union européenne des fédéralistes. A
partir d'octobre 1955, les « amis américains » reportent donc leurs espoirs
sur un nouveau venu, le Comité d'action pour les Etats-Unis d'Europe de Jean
Monnet. Lié à Donovan et surtout à l'ambassadeur américain à Paris, David
Bruce, un proche de Franck Wisner, Monnet est trop fin connaisseur du monde
anglo-saxon pour accepter directement les dollars de la CIA. Compte tenu de
sa prudence de Sioux, l'aide américaine à son courant européaniste devra
emprunter d'autres voies. En 1956, Monnet se voit ainsi proposer
l'équivalent de 150 000 euros par la Fondation Ford. Une offre qu'il
décline, préférant que cet argent soit versé au professeur Henri Rieben, un
économiste et universitaire suisse pro-européen qui vient d'être nommé
chargé de mission aux Hautes Etudes commerciales de Lausanne. Rieben
utilisera ces fonds en toute transparence financière pour créer un Centre de
recherches européen.

En 1958, le retour du général de Gaulle, radicalement hostile aux thèses
fédéralistes, annihile les derniers espoirs de l'UEF et de ses amis
américains. Dissolution de l'ACUE dès mai 1960 puis cessation des
financements occultes par la CIA s'ensuivent. En douze ans, la Compagnie
aura quand même versé aux européanistes de toutes tendances l'équivalent de
50 millions d'euros sans être jamais prise la main dans le sac ! Mais
pourra-t-on préserver longtemps le grand secret ?

La première alerte éclate dès 1962. Trop précise sur les financements
américains, une thèse universitaire sur les mouvements européanistes doit
être « enterrée » d'urgence en Angleterre. Ce remarquable travail est
l'oeuvre du fils d'un camarade de résistance de Frenay, Georges Rebattet,
créateur en avril 1943 du Service national maquis. Georges Rebattet, le
successeur en 1952 de Joseph Retinger comme secrétaire général d'un
Mouvement européen dont il a d'ailleurs assaini pour une bonne part le
financement.

Deuxième secousse au milieu des années 1960. L'étau de la presse américaine
(le New York Times et la revue gauchiste Ramparts ) se resserre sur une des
filiales du « trust » Braden-Meyer, le Congrès pour la liberté de la culture
où se côtoyaient des intellectuels antitotalitaires européens de haute
volée - Denis de Rougemont, Manhès Sperber, Franz Borkenau, Ignazio Silone,
Arthur Koestler ou, par éclipses, Malraux et Raymond Aron. Financé par la
CIA au travers de la Fondation Fairfield, le Congrès édite en français l'une
de ses revues les plus prestigieuses, Preuves . Jouant la transparence,
Braden jette alors son pavé dans la mare. « Je suis fier que la CIA soit
immorale », déclare-t-il en 1967 au journal britannique Saturday Evening
Post , auquel il confie des révélations sensationnelles sur le financement
occulte par la CIA du Congrès pour la liberté et sur le rôle d'Irving Brown
dans les milieux syndicaux. Silence radio, en revanche, sur le soutien aux
mouvements européanistes, le secret des secrets...

Ultime rebondissement à partir de juin 1970, quand le conservateur anglais
pro-européen Edward Heath arrive à Downing Street. A sa demande,
l'Information Research Department lance une vaste campagne pour populariser
sous le manteau l'européanisme dans les médias et les milieux politiques
britanniques. En 1973, l'Angleterre fait son entrée dans le Marché commun ;
le 5 juin 1975, 67,2 % des électeurs britanniques ratifient la décision par
référendum. Dans ce renversement de tendance en faveur de l'Europe, un homme
s'est jeté à corps perdu : nul autre que le chef de la station de la CIA de
Londres, Cord Meyer Jr. Ce bon vieux Cord qui remplaçait vingt ans plus tôt
son copain Braden à la tête de la Division des organisations internationales
de la Compagnie.



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*Spécialiste de l'histoire contemporaine, Rémi Kauffer est l'auteur de
plusieurs ouvrages et dernièrement de OAS, histoire d'une guerre
franco-française (Seuil).
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Comprendre

Combat
L'un des trois grands mouvements de résistance de la zone sud fondé en 1941.
Reconnaissant l'autorité de De Gaulle, il garde son indépendance face à Jean
Moulin. En 1943, il fusionne avec Libération et Francs-Tireurs pour former
les Mouvements unis de la Résistance.
Plan Marshall
En américain, European Recovery Program. Ce plan de quatre ans (1948-1954)
était destiné à la reconstruction de l'Europe : 17 pays en ont bénéficié. La
France a reçu 2 815 millions de dollars de l'époque.



Frenay : de la Résistance au fédéralisme

Né en novembre 1905 à Lyon, Henri Frenay suit les cours de Saint-Cyr. En
1934, ce capitaine plein d'avenir fait la connaissance de son aînée Berty
Albrecht, issue de la haute société protestante et déjà très engagée à
gauche. Une gauche vers laquelle évolue Frenay. Excellent germanophone, il
prend dès cette époque la mesure du danger nazi. Fait prisonnier à l'été
1940, il s'évade et jette, dès la fin de l'année, les bases de ce qui
deviendra bientôt Combat, le plus important mouvement de résistance en zone
sud. Aggravés par les dures conditions de la clandestinité, d'impitoyables
conflits, dont « l'affaire suisse », vont l'opposer à Jean Moulin, chargé
par de Gaulle d'unifier les différentes tendances de la Résistance. Au
moment du drame de Caluire, qui conduit à l'arrestation de l'envoyé du
Général, Henri Frenay se trouve à Alger. Ministre des Prisonniers, Déportés
et Réfugiés, il s'entend mal avec le général de Gaulle. Fondateur en 1945 du
mouvement Socialisme et Liberté, président du bureau exécutif de l'Union
européenne des fédéralistes de 1948 à 1954, Frenay joue à cette époque un
rôle considérable et méconnu.
Brouillé une fois encore avec le général de Gaulle à propos de la Communauté
européenne de défense, il le soutiendra néanmoins à son retour à la tête de
l'Etat en 1958 « pour éviter la guerre civile ». En 1977, Henri Frenay
publie L'Enigme Jean Moulin (Robert Laffont), où il met en cause l'ancien
délégué du Général en France, soulevant de violentes polémiques. Compagnon
de la Libération, il décède en août 1988 à Porto-Vecchio.



"Monnet détestait toute forme de compromission"

Eric Roussel, auteur d'une biographie chez Fayard, donne son point de vue
sur les relations financières du "père de l'Europe" avec les Américains.
Historia - Jean Monnet s'est montré d'une vigilance extrême quant à
l'origine des soutiens financiers américains à son Comité d'action pour les
Etats-Unis d'Europe. En gros, rien de la CIA.
E. R . - Cela ne m'étonne pas : l'homme détestait toute forme de
compromission. Quand le scandale de la revue Preuves a éclaté, Monnet était
furieux. Il s'en est ouvert à François Fontaine, un de ses proches. Il y a
bien eu un soutien financier au Comité d'action pour les Etats-Unis d'Europe
par la Fondation Ford, où Monnet possédait un excellent ami, Sheppard Stone,
mais cette aide n'avait rien de fastueux. La meilleure preuve, c'est que le
Comité d'action n'a cessé de tirer le diable par la queue.
H. - Une aide sans contrepartie ?
E. R. - Ce serait mal connaître Monnet, lequel a toujours agi en pleine
indépendance, politique ou autre. Pour créer le Comité d'action, il a
d'ailleurs commencé par engloutir énormément de fonds personnels. A telle
enseigne que sa fortune s'en est trouvée entamée.



Le "coup" de Prague

Le 25 février 1948, le prosoviétique Gottwald remplace le président tchèque
Benes, tenté par le plan Marshall. En janvier 1949, l'Union soviétique
réplique au plan Marshall en fondant le Conseil d'assistance économique
mutuelle (Comecom).


Le blocus de Berlin

Le 23 juin 1948, les Soviétiques bloquent la zone occidentale de Berlin. Les
Etats-Unis mettent en place un pont aérien. Conséquences : l'Otan est fondée
en mai 1949, le pacte de Varsovie le 14 mai 1955.


Les syndicats US subventionnent FO

David Dubinsky patron de l'ILGWU
Irving Brown de l'AFL
A propos du financement de Force ouvrière, voici ce qu'André Bergeron,
l'ancien secrétaire général de la confédération, déclarait à Historia en
1997 : « Brown m'a remis un peu d'argent pour faire paraître mon journal Le
Territoire syndicaliste . Je me souviens que l'AFL a aussi financé, dès
1948, les 18 délégués régionaux de FO. Cela n'a duré qu'une année. Après,
ces délégués n'étaient plus que 5. Dont moi. Les Américains préféraient
aider directement les fédérations ou les unions départementales que la
confédération elle-même. Cette aide a été beaucoup moins importante qu'on ne
l'a raconté. »


La voix de l'Amérique

Pour contrer la propagande soviétique (Kominform), la CIA finance Radio Free
Europe et Voice of America, deux stations de radio qui émettent vers les
pays d'Europe de l'Est.


Les artisans de l'Europe

Le britannique Churchill au Conseil de l'Europe en 1950
L'anglais Sandys
L'Italien De Gasperi
Le Français Blum
Le Belge Spaak

Les hommes de la CIA
Allen Dulles
W. Bedell Smith
William Donovan

En complément
- Intelligence de l'anticommunisme, de Pierre Grémion (Fayard).
- La Jeune Garde, la jeunesse entre KGB et CIA, 1917-1989, de Joël Kotek
(Seuil).


"Prendre les Soviétiques à leur propre piège"
Historien et professeur à Yale, Alexis Debat, qui publiera sous peu chez Flammarion une Histoire secrète de la CIA appelée à faire référence, précise la stratégie américaine.
Historia - Qui a créé l'American Committee for United Europe ?
Alexis Debat - La paternité théorique en revient à George Kennan, l'inventeur de la doctrine du containment . Quand on lui demande : « Le containment , c'est quoi ? » Kennan répond : « C'est la guerre politique » (political warfare) . L'objectif : prendre les Soviétiques à leur propre jeu en créant une sorte de Kominform pro-occidental. Entre autres, cela implique le soutien aux partis politiques démocratiques ainsi qu'à des associations de tous types, dont les mouvements pro-européens. Les idées de Kennan débouchent sur la directive NSC 10/2. Comme l'amiral Hillenkoetter, le premier chef de la CIA, renâcle, on va créer un organisme particulier, l'OPC de Wisner, lié à la CIA mais autonome.
H. - D'où vient l'argent ?
A. D. - De fondations privées comme la Fondation Ford, la Fondation Rockefeller, le National Committee for Free Europe, mais surtout, d'une partie spécifique des fonds du plan Marshall, dits « Fonds Marshall de contrepartie », alloués dans ce but précis à la CIA.
H. - Et les animateurs des réseaux autour du Comité ?
A. D. - Des gens peu nombreux qui ont pris l'habitude de travailler ensemble. Ce petit noyau de vieux copains des services spéciaux, des syndicats ou des deux à la fois, habite dans les mêmes quartiers de New York et partage la même vision de l'Amérique.
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PostPosted: Sat Jan 13, 2007 8:47 pm    Post subject: Reply with quote

La CIA finance la construction européenne


De 1949 à 1959, en pleine guerre froide, les Américains, par l'intermédiaire
de leurs services secrets et du Comité pour l'Europe unie, versent
l'équivalent de 50 millions de dollars actuels à tous les mouvements
pro-européens, parmi lesquels ceux du Britannique Winston Churchill ou du
Français Henri Frenay. Leur but, contenir la poussée soviétique...

Par Rémi Kauffer *


A 82 ans, Henri Frenay, (en 1951, le comité central de l’ UNION EUROPEENE DES FEDERALISTES ( UEF) se composait d’André Voisin-futur Bilderberg-de Fernand Dehousse ( IRRI, Bilderberg) de Jean Buschmann, président des Jeunesses européennes fédéralistes ( IRRI), d’ Altiéro Spinelli ( IAI, Bilderberg) de Raymond Riflet en 1978 directeur à la CCE et membre de l’ IRRI, de Robert Buron ( ex ministre de De Gaulle),d’Henry Freney et d’ Edmond Michelet-fin de citation) le pionnier de la Résistance intérieure, fondateur
du mouvement Combat, arbore une forme intellectuelle éblouissante malgré sa
surdité de l'oreille droite et sa récente opération de l'estomac. Pourtant,
il n'a plus que trois mois à vivre. En ces jours de mai 1988, il me parle de
l'Europe dans son appartement de Boulogne-sur-Seine. De cette Europe
fédérale dont il a rêvé en vain entre 1948-1954. De la dette aussi que, en
cas de succès, le Vieux Continent aurait contracté envers les Américains,
ceux notamment du « Comité ». Et d'insister une fois, deux fois, dix fois,
tandis que moi, je m'interroge : pourquoi diable ce mystérieux « Comité »
revient-il à une telle fréquence dans nos conversations ? Pourquoi ? Mais
parce que Frenay me confie, avec il est vrai d'infinies précautions de
langage, son ultime secret : l'aide financière occulte de la CIA via
l'American Committee for United Europe - le Comité - à l'Union européenne
des fédéralistes dont il a été le président. Pour reconstituer cette filière
inédite, il me faudra une quinzaine d'années. Un jeu qui en valait la
chandelle puisqu'il me permet d'ouvrir, pour les lecteurs d' Historia, la
porte d'un des compartiments les plus secrets de la guerre froide...

Tout commence à l'automne 1948. Déjà coupée en deux, l'Europe vit sous la
menace d'une invasion totale par l'armée rouge. Au « coup de Prague » en
février, vient de succéder en juin le blocus de Berlin. Un petit cénacle de
personnalités de l'ombre jette alors les bases de l'American Committee for
United Europe, l'ACUE - son existence sera officialisée le 5 janvier 1949 à
la maison de la Fondation Woodrow-Wilson de New York. Politiques, juristes,
BANQUIERS, syndicalistes vont se mêler au sein de son conseil de direction.
De hautes figures gouvernementales aussi comme Robert Paterson, le
secrétaire à la Guerre ; James Webb, le directeur du budget ; Paul Hoffman,
le chef de l'administration du plan Marshall ; ou Lucius Clay, le «
proconsul » de la zone d'occupation américaine en Allemagne.

Bien tranquilles, ces Américains-là ? Non, car la véritable ossature de
l'ACUE est constituée d'hommes des services secrets. Prenez son président,
William Donovan. Né en 1883 à Buffalo, cet avocat irlando-américain au
physique de bouledogue, surnommé « Wild Bill » par ses amis, connaît bien
l'Europe. En 1915, il y remplissait déjà une mission humanitaire pour le
compte de la Fondation Rockefeller( !!!!!!!!!!!!)(( l’ ACUE avait pour adresse la même que l4TALANTIC UNION COMITTEE). Deux ans plus tard, Donovan retrouvait
le Vieux Continent pour y faire, cette fois, une Grande Guerre magnifique.
Redevenu civil, « Wild Bill » va se muer en missus dominicus du gouvernement
américain. Ses pas d'émissaire officieux le portent vers l'Europe pour des
rencontres parfois imprévues. En janvier 1923, alors qu'ils goûtent un repos
bien mérité, sa femme Ruth et lui devront ainsi subir une soirée entière les
vociférations d'un autre habitué de la pension Moritz de Berchtesgaden.
Dix-sept ans plus tard, l'agité, un certain Adolf Hitler, s'est rendu maître
de la partie continentale de l'Europe, et c'est « Wild Bill » que Franklin
Roosevelt, inquiet, dépêche à Londres s'enquérir auprès de Winston Churchill
du potentiel britannique face à l'avancée nazie.

S’agit il VRAIMENT DE LA MEME HISTOIRE ??? NOUS AURONS LOISIR DE REVENIR SUR CET EPISODE.

En juin 1942, Donovan, homme de confiance du président démocrate pour les
affaires spéciales, crée l'Office of Strategic Services (OSS), le service
secret américain du temps de la Seconde Guerre mondiale dont il devient le
chef et qu'il quittera à sa dissolution, en septembre 1945, sans perdre le
contact avec l'univers du renseignement : « Wild Bill » tisse des liens
privilégiés avec la Central Intelligence Agency, la CIA, créée
officiellement le 15 septembre 1947 par une loi sur la sécurité nationale
signée par le successeur de Roosevelt, Harry Truman.

Prenez le vice-président de l'ACUE Walter Bedell Smith, ancien chef
d'état-major d'Eisenhower pendant la Seconde Guerre mondiale puis
ambassadeur des Etats-Unis à Moscou. A partir d'octobre 1950, celui que ses
amis surnomment le « Scarabée » ( beetle en anglais) va prendre les
commandes de la CIA. 1950, c'est justement l'année où des universitaires
comme Frederick Burkhardt et surtout William Langer, historien à Harvard,
lancent la section culturelle de l'ACUE. Ces deux proches de Donovan ont
servi autrefois dans les rangs de l'OSS. Langer en a dirigé le service
Recherche et Analyse et, excellent connaisseur de la politique française, a
même commis après-guerre un ouvrage savant qui s'efforçait de dédouaner Le
Jeu américain à Vichy (Plon, 1948).

Prenez surtout Allen Dulles. A l'été 1948, c'est lui qui a « inventé » le
Comité avec Duncan Sandys, le gendre de Churchill, et George Franklin, un
diplomate américain. Principal associé du cabinet de juristes Sullivan &
Cromwell, Dulles n'impressionne guère de prime abord avec ses fines
lunettes, ses éternelles pipes de bruyère et ses vestes en tweed. Sauf
qu'avec ce quinquagénaire, un maître espion entre dans la danse.

Retour à la case Seconde Guerre mondiale. Chef de l'OSS à Berne, Dulles noue
en février 1943 des contacts avec la délégation de Combat en Suisse. Un
temps, il assurera même le financement du mouvement clandestin. « Coup de
poignard dans le dos du général de Gaulle », s'insurge Jean Moulin au nom de
la France libre. « Survie de la Résistance intérieure menacée d'étranglement
financier », rétorque Frenay. Pensant d'abord à ses camarades dénués de
moyens, aux maquisards en danger, il ne voit pas pourquoi Combat devrait se
priver d'un argent allié versé, c'est convenu, sans contrepartie politique.
Cette « affaire suisse » va empoisonner un peu plus encore ses rapports avec
Moulin.

En 1946, Dulles démissionne des services secrets... pour en devenir aussitôt
l'éminence grise, prenant une part prépondérante à la rédaction du texte de
loi présidentiel sur la sécurité nationale. Cofondateur à ce titre de la CIA
(pour les initiés : l'Agence ou mieux, la Compagnie), Dulles pense qu'en
matière d'action clandestine, privé et public doivent conjuguer leurs
forces. C'est lui qui a déjà inspiré, par l'intermédiaire de ses amis du
Brook Club de New York, le versement des subsides de grosses sociétés
américaines à la démocratie chrétienne italienne menacée par un parti
communiste surpuissant. En 1950, il va reprendre officiellement du service
comme bras droit du Scarabée d'abord, comme son successeur à la tête de la
CIA ensuite - de février 1953 à septembre 1961. Record de longévité d'autant
plus impressionnant que son frère aîné John Forster Dulles, restera, lui,
ministre des Affaires étrangères de 1953 à sa mort de maladie en mai 1959.

Etonnant creuset que l'ACUE, où des personnalités de la haute société et/ou
de la CIA côtoient les dirigeants de la puissante centrale syndicale
American Federation of Labor, l'AFL, dont ils partagent l'aversion du
communisme. Exemples : David Dubinsky, né en 1892 à Brest-Litovsk, en
Russie, dirige le Syndicat international de la confection pour dames (ILGWU)
: 45 000 adhérents à son arrivée en 1932, 200 000 à la fin des années 1940 !
Ennemi acharné des nazis hier (les syndicalistes proches de l'ACUE sont
presque tous juifs), c'est aux commies , les « cocos », qu'il en veut
dorénavant. Jay Lovestone aussi. Conseiller politique de l'AFL, ce Lituanien
d'origine sait de quoi il parle : avant sa brutale exclusion puis sa lente
rupture avec le marxisme, il fut, entre 1925 et 1929, le secrétaire général
du PC américain ! Autre recrue de choix du Comité, Arthur Goldberg, le
meilleur juriste de l'AFL. Futur secrétaire au Travail du président Kennedy
puis juge à la Cour suprême, Goldberg, né en 1908, a dirigé l'aile syndicale
de l'OSS. ( en 1969, Goldberg se prononça pour l ‘entrée de la Chine communiste à l’ ONU, membre du CFR)
A ce titre, il fut en son temps le supérieur hiérarchique d'Irving
Brown, son cadet de deux ans. Brown, représentant de l'AFL pour l'Europe et
grand dispensateur de dollars aux syndicalistes modérés du Vieux Continent.
Puisant dans les fonds secrets de la toute jeune CIA, laquelle finance
depuis 1946 toutes les opérations anticommunistes de l'AFL, ce dur à cuire
ne ménage pas, par exemple, son soutien à Force ouvrière, la centrale
syndicale née fin 1947 de la scission de la CGT (lire « Derrière Force
ouvrière, Brown, l'ami américain » dans Historia n° 621 de décembre 1997).
Pure et dure, la ligne Brown contraste d'ailleurs avec celle, plus nuancée,
de la CIA. A la Compagnie, on aurait préféré que les non-communistes restent
dans le giron de la CGT, même contrôlée par le PCF...

C'est qu'au-delà des hommes, il y a la stratégie d'ensemble. Face à l'Union
soviétique, Washington développe deux concepts clés : le containment
(l'endiguement) et plan Marshall. L'idée du containment , revient à un
diplomate russophone, George Kennan, qui la développe dès juillet 1947 dans
un article de la revue Foreign Affairs : « L'élément majeur de la politique
des Etats-Unis en direction de l'Union soviétique doit être celui d'un
endiguement à long terme, patient mais ferme, des tendances expansionnistes
russes. »

Le plan Marshall, lui, porte la marque de son inventeur le général George
Marshall, chef d'état-major de l'US Army pendant la guerre, et désormais
ministre des Affaires étrangères du président Truman. En apportant une aide
massive aux pays d'Europe ruinés, les Etats-Unis doivent, selon lui, faire
coup double : un, couper l'herbe sous le pied des partis communistes par une
hausse rapide du niveau de vie dans les pays concernés ; deux, empêcher leur
propre industrie de sombrer dans la dépression en lui ouvrant de nouveaux
marchés.

Pour le tandem Marshall-Kennan, pas de meilleur outil que la CIA (lire
l'interview d'Alexis Debat, page 51). Et c'est naturellement un autre ancien
de l'OSS, Franck Wisner Jr, qu'on charge de mettre sur pied un département
autonome spécialisé dans la guerre psychologique, intellectuelle et
idéologique, l'Office of Policy Coordination ! Si ce bon vieux « Wiz » ne
fait pas partie du Comité, ses hommes vont lui fournir toute la logistique
nécessaire. Mais chut ! c'est top secret...

L'ACUE allie sans complexe une certaine forme de messianisme américain avec
le souci de la défense bien comprise des intérêts des Etats-Unis.
Messianique, cette volonté bien ancrée de mettre le Vieux Continent à
l'école du Nouveau Monde. Phare de la liberté menacée, l'Amérique a trouvé,
la première, la voie d'une fédération d'Etats, succès si resplendissant que
l'Europe n'a plus qu'à l'imiter... Cet européanisme made in Washington
comporte sa part de sincérité : « Ils m'appellent le père du renseignement
centralisé, mais je préférerais qu'on se souvienne de moi à cause de ma
contribution à l'unification de l'Europe », soupire ainsi Donovan en octobre
1952.

De sa part de calcul aussi. Car en décembre 1956, trois mois avant sa mort,
le même Donovan présentera l'Europe unie comme « un rempart contre les
menées agressives du monde communiste ». En d'autres termes, un atout
supplémentaire de la stratégie américaine conçue par Marshall, Kennan et
leurs successeurs : construire l'Europe, c'est remplir un vide continental
qui ne profite qu'à Staline, donc, en dernier ressort, protéger les
Etats-Unis.

Ajoutons une troisième dimension. Dans l'esprit des hommes de la Compagnie,
rien de plus noble qu'une action clandestine au service de la liberté. Tout
officier de la CIA le sait : les Etats-Unis sont nés pour une bonne part du
soutien des agents de Louis XVI, Beaumarchais en tête, aux insurgés
nord-américains. Ainsi l'opération American Committee, la plus importante,
et de loin menée, par l'Agence en Europe pendant la guerre froide, se
trouve-t-elle justifiée par l'Histoire.

Pour chaleureuse qu'elle soit, l'amitié franco-américaine ne saurait
toutefois distendre le « lien spécial » entre Grande-Bretagne et Etats-Unis.
En foi de quoi, Comité et Compagnie tournent d'abord leur regard vers
Londres. Hélas ! Churchill, battu aux législatives de 1945, ronge ses
griffes dans l'opposition. Le nouveau secrétaire d'Etat britannique aux
Affaires étrangères, Ernest Bevin, a bien proclamé le 2 janvier 1948 aux
Communes : « Les nations libres d'Europe doivent maintenant se réunir. »
N'empêche que ses collègues du cabinet travailliste et lui repoussent avec
horreur la perspective d'une véritable intégration continentale. Non pas que
Bevin craigne de s'affronter aux communistes : deux jours après son discours
de janvier, il créait un organisme clandestin de guerre idéologique,
l'Information Research Department. Ce même IRD qui, jugeant La Ferme des
animaux et 1984 plus efficaces que mille brochures de propagande, va
contribuer à diffuser partout dans le monde les oeuvres de George Orwell.
Mais la carte Europe unie, alors là, non !
++++++++++++++++

Le Magazine ‘Time Out’ va lacher une partie de la vérité sur base d’une thèse dont la classification n’a pas été renouvelée comme il est d’usage en Grande bretagne. De ce fait des éléments privés deviennent publics.

Le fils d’un des fondateurs du Mouvement Européen est à l’origine de cette fuite involontaire.

Nous y apprenons que LE VICE PRESIDENT DE L’ ACUE ( American comittee on United Europe’) est UN CERTAIN ALLEN DULLES., flanqué de Thomas Braden, autre vétéran de l’ OSS. Nous avons donc trois OSS à la tête de cet organisme, ami des Européens. ( Le Monde, 18 juin 1975).

« L’ utopie de Streit, émise depuis les USA servit de modèle au Marché Commun’.
Georges Mac Ghee , ancien ambassadeur des USA en RFA déclara en tant que participant aux rencontres du Bilderberg :
« C’est au cours de ces rencontres que FUT CONCU LE TRAITE DE ROME QUI DONNA NAISSANCE AU MARCHE COMMUN ».

Peuple d’ Europe, on s’est foutu de vous. Quel a été le poids de votre décision dans tout ce processus ?( et cela n’est pas fini…)

Or Mac Ghee est également Rhodes Scholar ( vous savez ce que c’est maintenant), membre du CFR, et du ASPEN INSTITUT FOR HUMANISTIC STUDIES.

Nous continuons notre lecture…


Cette carte, Churchill la joue-t-il de son côté par conviction profonde ou
par aversion pour ses rivaux politiques de gauche ? Le fait est que le 19
septembre 1946 à Zurich, le Vieux Lion appelle à un axe
anglo-franco-allemand, élément majeur selon lui d'une « espèce d'Etats unis
d'Europe ». Qu'en mai 1948, Duncan Sandys, taille aux mesures de son homme
d'Etat de beau-père le Congrès européaniste de La Haye. Qu'en octobre 1948,
Churchill crée l'United European Movement - le Mouvement européen. Qu'il en
devient président d'honneur aux côtés de deux démocrates-chrétiens,
l'Italien Alcide De Gasperi et l'Allemand Konrad Adenauer, et de deux
socialistes, le Français Léon Blum et le Belge Paul-Henri Spaak.



« le Comte Coudenhove Kalergi reprend son projet et tente de développer l’Union parlementaire Economique’ tandis que se développe le Comité International de coordination des mouvements pour l’Unité Européene, pprésidé par le Britannique Duncan Sandys….Ce comité réunit tout d’abord l’United Europe Movement, La ligue Européene pour la coopération économique et l’Unin européene des Fédéralistes’ .Vendront adhérer ensuite le Mouvement Socialiste pour les Etats Unis d’Europe et les Nouvelles équipes Internationales, d’inspiration chrétiennes démocrates. On oublie de citer Jean Monnet parmi les participants, Robert Schuman, Paul reynaud et Georges Bidault…



Malheureusement pour les « amis américains », cette tendance « unioniste »
ne propose, à l'exception notable de Spaak, que des objectifs européens
limités. Reconstruction économique et politique sur une base démocratique,
d'accord, mais sans transfert, même partiel, de souveraineté.

Le Comité et la tendance « fédéraliste », dont Henri Frenay émerge comme la
figure emblématique, veulent, eux, aller beaucoup plus loin. Aux heures les
plus noires de la Seconde Guerre mondiale, Frenay, patriote mondialiste,( STOP ! PEUT ON IMAGINER A QUOI RESSEMBLAIT UN PATRIOTE MONDIALISTE EN 1950 ? PLUS A UN INTERNATIONALISTE OU UN GLOBALISTE QU’A UN PATRIOTE)
A conçu l'idée d'un Vieux Continent unifié sur une base supranationale. En
novembre 1942, révélera quarante ans plus tard Robert Belot dans le
remarquable travail sur Frenay qui vient de lui valoir l'habilitation à
diriger des recherches à l'Université, le chef de Combat écrivait au général
de Gaulle qu'il faudrait dépasser l'idée d'Etat-Nation, se réconcilier avec
l'Allemagne après-guerre et construire une Europe fédérale.

J’ai cité un petit nombre d’organisations se voulant FEDERALES….Toutes financées par l’ argent de la CIA et de Rockefeller ( nous verrons cela après)
Logique avec lui-même, Frenay se jette dès 1946 dans cette croisade européanniste aux
côtés d'Alexandre Marc. Né Lipiansky à Odessa en 1904, ce théoricien du
fédéralisme a croisé la trajectoire de Frenay à Lyon en 1941, puis
après-guerre. A rebours de l'européanisme de droite inspiré des thèses
monarchistes maurrassiennes ou du catholicisme social, les deux amis
s'efforcent de gauchir le fédéralisme français alors fort de « plusieurs
dizaines de milliers d'adhérents », ainsi que me l'assurera l'ancien chef de
Combat en 1988.

Membre du COMITE DIRECTEUR DU ‘ MOUVEMENT UNIVERSEL POUR UNE CONFEDERATION MONDIALE’, Alexandre Marc fréquentera dans ce comité :
Edward T Clark des USA, membre de l’ United World Federalists, Edith Wynner ( USA) de l’ International Campaign for World Government, François Astier, fondateur de l’Union Gaulliste, RPF 1947-1948,membre de l’ Action Latine.,Buchmann Jean, professeur à l’ UCL , membre du Rassemblement Fédéraliste ET DE L IRRI, homologue du CFR en Belgique.
L’ ABBE PIERRE en faisait partie ( Vice président du Mouvement mondial pour l’instauration d’un gouvernement Mondial), Wofford ( USA) de l’United World Federalists et…CFR.

Orientée à gauche, l'Union européenne des fédéralistes, l'UEF, est créée fin
1946. Elle va tenir son propre congrès à Rome en septembre 1948. Frenay en
devient le président du bureau exécutif, flanqué de l'ex-communiste italien
Altiero Spinelli, prisonnier de Mussolini entre 1927 et 1937 puis assigné à
résidence


Membre du groupe communiste à Strasbourg en 1981, le ex communiste a beau sièger en tant que gauche indépendante …mais est BILDERBERGER, IAI, et fondait avec AGNELLI le Club du Crocodile dont le but était…. ‘ de former un groupe de pression afin d’étudier le meilleur moyen D IMPOSER AUX GOUVERNEMENTS UN CENTRE EUROPEEN A CAPACITE DE GOUVERNEMENT ‘


Décidément on n’ en sort pas.

« les détracteurs du Groupe de Bilderberg sont juste des cinglés »
Martin taylor- secrétaire général du groupe de Bilderberg, cité dans ‘Management Today, 14/3/2002’


"Nous remercions The Washington Post, The New York Times, Time Magazine
et d’autres grandes publications qui ont participées à nos meetings et ont RESPECTE LEUR PROMESSE DE DISCRETION DURANT PRES DE QUARANTE ANNEES.IL NOUS AURAIT ETE IMPOSSIBLE DE DEVELOPPER NOS PLANS POUR LE MONDE SI NOUS AVIONS ETE SOUMIS A LA PUBLICITE DURANT CES ANNEES. Mais le travail est maintenant plus élaboré pour nous PREPARER VERS UN GOUVERNEMENT MONDIAL.
La SOUVERAINETE SUPRANATIONALE D’UNE ELITE INTELLECTUELLE ET DES BANQUIERS MONDIAUX EST PREFERABLE A L AUTODETERMINATION pratiquée les siècles passés." David Rockefeller, qui fonda la Trilateral Commission, membre du steering committee Bilderberg, Juin 1991.

Petite question à Martin taylor : Qui est cinglé ?


, et de l'Autrichien Eugen Kogon, victime, lui, du système
concentrationnaire nazi qu'il décortiquera dans L'Etat SS (Le Seuil, rééd.
1993).
En 1951, le Comité Central de l’UNION EUROPEENE DES FEDERALISTES ( UEF) se composait d’André VOISIN, ( Bilderberg), Fernand Dehousse ( IRRI, Bilderberg), d’Altierro Spinelli etc…le président du Comité Central était Eugen KOGON, secondé par Denis de Rougemeont qu’on retrouvera au Bilderberg, CLUB DE ROME, et Graduate Institute of Internationéal Studies.

A ces trois dirigeants d'atténuer le profond malaise né de la
participation de nombreux membres de l'UEF au congrès de La Haye, où
Churchill et son gendre Sandys les ont littéralement roulés dans leur farine
« unioniste ».

Faut-il choisir entre le Vieux Lion et le pionnier de la Résistance
intérieure française à l'internationalisme si radical ? Perplexité au
Comité, donc à la CIA. Pour Churchill, sa stature d'homme d'Etat, d'allié de
la guerre, sa préférence affichée pour le « grand large », les Etats-Unis ;
contre, son refus acharné du modèle fédéraliste si cher aux européanistes
américains et bientôt, ses violentes querelles avec le très atlantiste
Spaak. En mars 1949, Churchill rencontre Donovan à Washington. En juin, il
lui écrit pour solliciter le versement de fonds d'urgence (très riche à
titre personnel, l'ancien Premier ministre britannique n'entend pas puiser
dans sa propre bourse). Quelques jours plus tard, Sandys appuie par courrier
la demande de son beau-père : de l'argent, vite, sinon le Mouvement européen
de Churchill s'effondre. Comité et CIA, la principale bailleuse de fonds,
débloquent alors une première tranche équivalant à un peu moins de 2
millions de nos euros. Elle permettra de « préparer » les premières réunions
du Conseil de l'Europe de Strasbourg, qui associe une assemblée consultative
sans pouvoir réel à un comité des ministres statuant, lui, à l'unanimité.

Pour soutenir leurs partenaires du Vieux Continent, ACUE et CIA montent dès
lors des circuits financiers complexes. Les dollars de l'oncle Sam -
l'équivalent de 5 millions d'euros entre 1949 et 1951, le même montant
annuel par la suite - proviennent pour l'essentiel de fonds alloués
spécialement à la CIA par le Département d'Etat. Ils seront d'abord répartis
sous le manteau par les chefs du Mouvement européen : Churchill, son gendre,
le secrétaire général Joseph Retinger,

Joseph retinger, architecte du Congrès de la Haye, ami de Coudenhove Kalergi, membre de l’Ordre des Aigles Blancs, fondateur de BILDERBERG, promoteur de l’ ATLANTIC UNION MOVEMENT d’où sortira l’ INSTITUT ATLANTIQUE, L OTAN en suite logique à l’ UNION PANEUROPEENE…..


et le trésorier Edward
Beddington-Behrens. En octobre 1951, le retour de Churchill à Downing
Street, résidence des premiers ministres anglais, ne tarira pas ce flot :
entre 1949 et 1953, la CIA va en effet verser aux unionistes l'équivalent de
plus de 15 millions d'euros, à charge pour eux d'en redistribuer une partie
à leurs rivaux de la Fédération, la tendance de droite du fédéralisme
français, laquelle reverse ensuite sa quote-part à l'UEF. Sommes
substantielles mais sans commune mesure avec la manne que l'appareil
stalinien international, le Kominform, investit au même moment dans le
financement souterrain des PC nationaux et des innombrables « fronts de
masse » : Fédération syndicale mondiale de Prague, Mouvement de la paix,
mouvements de jeunes, d'étudiants, de femmes...

Pour Frenay, c'est clair : l'Europe fédérale constitue désormais le seul
bouclier efficace contre l'expansionnisme communiste. Mais comment aller de
l'avant quand le nerf de la guerre manque si cruellement ? L'UEF n'est pas
riche. Son président encore moins, dont la probité est reconnue de tous -
après son passage au ministère des Prisonniers, Déportés et Réfugiés,
Frenay, ancien officier de carrière sans fortune personnelle, a quitté
l'armée au titre de la loi Diethelm de dégagement des cadres. Comme au temps
de « l'affaire suisse », le salut financier viendra-t-il de l'allié
américain ? Oui, assurent dès l'été 1950 les hommes de l'ACUE à un
représentant français de l'UEF en visite à New York. Conforme à la position
officielle du gouvernement américain en faveur de l'intégration européenne,
leur aide ne sera soumise à aucune contrepartie politique ou autre,
condition sine qua non aux yeux d'Henri Frenay. Et de fait, à partir de
novembre 1950, l'ACUE va financer secrètement à hauteur de 600 000 euros
l'une des initiatives majeures de Frenay et des fédéralistes de gauche : la
création à Strasbourg, en parallèle du très officiel Conseil de l'Europe,
d'un Congrès des peuples européens, aussi appelé Comité européen de
vigilance.

S'associeront à ce projet des socialistes (Edouard Depreux), des religieux
(le père Chaillet, fondateur de Témoignage chrétien ), des syndicalistes,
des militants du secteur coopératif, des représentants du patronat et
même... des gaullistes tels Michel Debré ou Jacques Chaban-Delmas. Mal
conçue médiatiquement, l'affaire échoue de peu. Raison de plus pour
accentuer le soutien financier, oeuvre du secrétaire général de l'ACUE,
Thomas Braden.

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Connu pour ses opinions libérales, cet ami du peintre Jackson
Pollock, n'a pas hésité quand Donovan, son ancien patron à l'OSS, lui a
demandé de quitter la direction du musée d'Art moderne de New York.

En juillet 1951, Frenay effectue à son tour le voyage des Etats-Unis sous
les auspices du Congrès pour la liberté de la culture - une organisation que
nous retrouverons bientôt. L'occasion de rencontrer les dirigeants du Comité
et ceux de la Fondation Ford (mais pas ceux de la CIA avec lesquels il
n'entretiendra jamais de rapports directs) pour leur faire part des besoins
matériels des fédéralistes. Message reçu « 5 sur 5 » par les Américains...

A cette date, Braden ne figure plus parmi les dirigeants officiels de
l'ACUE. En vertu du principe des vases communicants, l'agent secret esthète
vient en effet de rejoindre Dulles à la CIA. Les deux hommes partagent cette
idée de bon sens : face aux communistes, ce ne sont pas les milieux
conservateurs qu'il faut convaincre, mais la gauche antistalinienne
européenne, dont Frenay constitue un des meilleurs représentants. Braden va
plus loin : « Comme l'adversaire rassemblé au sein du Kominform,
structurons-nous au plan mondial par grands secteurs d'activité :
intellectuels, jeunes, syndicalistes réformistes, gauche modérée... »,
plaide-t-il. D'accord, répond Dulles. Naît ainsi la Division des
organisations internationales de la CIA. Dirigée par Braden, cette direction
centralise, entre autres, l'aide de la Compagnie via l'ACUE aux fédéralistes
européens. En 1952, l'American Committee for United Europe finance ainsi
l'éphémère Comité d'initiative pour l'assemblée constituante européenne,
dont Spaak sera président et Frenay, le secrétaire général.



L’ ACUE , fondé le 19/4/1948 avait pour président Wiliam Fulllbright, ( CFR), Hale Boggs ( commission Warren), John w Davis ( CFR , président de la Pilgrims USA 1946-1955) avec un passé maçonnique impressionnant …William Donovan ( CFR, OSS), Stephen Duggan ( CFR), Allen DULLES ( Round table, CFR, OSS)….Gideonse ( CFR)..Christian HERTER ( Round Table, CFR, Institut Atlantique,BILDERBERG), Herbert HOOVER ( CFR)…..Larkin( CFR)…SHUSTER ( CFR)…George E. WARREN (CFR)…Thomas WATSON ( CFR, PILGRIMS, FONDATION ROCKEFELLER) ; ZURCKER ( C
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PostPosted: Sat Jan 13, 2007 8:54 pm    Post subject: Reply with quote

BILDERBERG -FIN DE L ARTICLE D HISTORIA

L’ ACUE , fondé le 19/4/1948 avait pour président Wiliam Fulllbright, ( CFR),[ voir mon article sur le Bilderberger KERR] Hale Boggs ( commission Warren sur l' assassinat de JFK), John w Davis ( CFR , président de la Pilgrims USA 1946-1955) avec un passé maçonnique impressionnant …William Donovan ( CFR, OSS), Stephen Duggan ( CFR), Allen DULLES ( Round table, CFR, OSS, commission Warren)….Gideonse ( CFR)..Christian HERTER ( Round Table, CFR, Institut Atlantique,BILDERBERG), Herbert HOOVER ( CFR)…..Larkin( CFR)…SHUSTER ( CFR)…George E. WARREN (CFR, commission Warren)…Thomas WATSON ( CFR, PILGRIMS, FONDATION ROCKEFELLER) ; ZURCKER ( CFR)

Mr FRENAY peut il à bon droit prétendre qu’il agissait avec la CIA, alors que tout lui montrait que cela dépassait le cadre de celle-ci ?



Brouillés avec la « Fédération », leur rivale de droite qui servait
jusque-là d'intermédiaire pour le versement des fonds CIA-ACUE par le
truchement du mouvement churchillien, les amis de Frenay sont très vite au
bord de l'asphyxie. Pour parer à l'urgence, Braden, virtuose du financement
souterrain au travers de fondations privées plus ou moins bidon, va, cette
fois, mettre en place une procédure de versements directs aux fédéralistes
de gauche par des antennes para-gouvernementales américaines.

CELA REVIENT A DIRE DIRECTEMENT PAR ROCKEFELLER. Celui-ci peut il demeurer dans l’ IGNORANCE ????

A Paris,plaque tournante des opérations de la CIA en Europe avec Francfort, on
opérera par le biais de l'Office of Special Representative, conçu à
l'origine pour servir d'interface avec la toute jeune Communauté européenne
du charbon et de l'acier (Ceca), ou de l'US Information Service (USIS). Par
la suite, un bureau ACUE proprement dit sera ouvert.


++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

« Il n’ y a naturellement pas de raison qu’un nouveau totalitarisme ressemble à un ancien.Le gouvernement par les Clubs et les pelotons d’éxécution, par la famine artificielle et la déportation de masse, n’est pas plus inhumaine ( personne ne se soucie de cela de nos jours) ; cela est inefficace de manière démontrable et à l’ âge d’une technologie évoluée, inefficace est le péché contre le Saint Esprit.
Un Etat Totalitarien EFFICACE serait celui dans lequel les tous puissants éxécutifs des patrons politiques et leur armée de managers contrôlerait une population d ‘esclaves QUI NE DEVRONT PAS ETRE FORCES, PARCEQU ‘ILS AIMERAIENT LEUR SERVITUDE. Pour leur faire aimer celle-ci dans les Etats Totalitaires de nos jours,les ministres de la PROPAGANDE, éditeurs de JOURNAUX et ENSEIGNANTS »

Le Meilleur des Mondes- Aldous Huxley




Comme Jean Monnet, président de la Ceca, Frenay caresse, en cette année
1952, l'idée d'une armée européenne, pas décisif vers l'Europe politique
selon lui. L'ACUE approuve chaudement. Prévue par le traité de Londres de
mars 1952, cette Communauté européenne de défense comprendrait - c'est le
point le plus épineux -, des contingents allemands. Reste à faire ratifier
le traité par les parlements nationaux. Frenay s'engage avec enthousiasme
dans ce nouveau combat. Pour se heurter, une fois encore, à de Gaulle, qui
refuse la CED au nom de la souveraineté nationale et, déjà, du projet
ultrasecret de force atomique française, ainsi qu'aux communistes, hostiles
par principe à tout ce qui contrarie Moscou. D'après les éléments recueillis
par Robert Belot - dont la biographie du chef de Combat devrait sortir ce
printemps au Seuil -, Frenay demandera même à l'ACUE de financer l'édition
d'une brochure réfutant... les thèses gaullistes sur la CED.

Staline meurt en mars 1953. L'année suivante, Cord Meyer Jr, { World Federalist USA, membre du CFR EN COMPAGNIE DE Thomas Mann, ami de Coudenhove Kalergi et au sein de World Federalist, ami d’ Ansel Mowrer, membre de la FABIAN SOCIETY)
un proche de la famille Kennedy, remplace Braden à la tête de la Division des organisations
internationales de la CIA. Mais 1954 verra surtout cet échec cuisant des
européanistes : l'enterrement définitif de la CED. Découragé, Frenay
abandonne alors la présidence de l'Union européenne des fédéralistes. A
partir d'octobre 1955, les « amis américains » reportent donc leurs espoirs
sur un nouveau venu, le Comité d'action pour les Etats-Unis d'Europe de Jean
Monnet. Lié à Donovan et surtout à l'ambassadeur américain à Paris, David
Bruce, un proche de Franck Wisner, Monnet est trop fin connaisseur du monde
anglo-saxon pour accepter directement les dollars de la CIA.( pour Monnet, je documente un dossier connu). Compte tenu de sa prudence de Sioux, l'aide américaine à son courant européaniste devra
emprunter d'autres voies. En 1956, Monnet se voit ainsi proposer
l'équivalent de 150 000 euros par la Fondation Ford. Une offre qu'il
décline, préférant que cet argent soit versé au professeur Henri Rieben, un
économiste et universitaire suisse pro-européen qui vient d'être nommé
chargé de mission aux Hautes Etudes commerciales de Lausanne. Rieben
utilisera ces fonds en toute transparence financière pour créer un Centre de
recherches européen.

En 1958, le retour du général de Gaulle, radicalement hostile aux thèses
fédéralistes, annihile les derniers espoirs de l'UEF et de ses amis
américains. Dissolution de l'ACUE dès mai 1960 puis cessation des
financements occultes par la CIA s'ensuivent. En douze ans, la Compagnie
aura quand même versé aux européanistes de toutes tendances l'équivalent de
50 millions d'euros sans être jamais prise la main dans le sac ! Mais
pourra-t-on préserver longtemps le grand secret ?

La première alerte éclate dès 1962. Trop précise sur les financements
américains, une thèse universitaire sur les mouvements européanistes doit
être « enterrée » d'urgence en Angleterre. Ce remarquable travail est
l'oeuvre du fils d'un camarade de résistance de Frenay, Georges Rebattet,
créateur en avril 1943 du Service national maquis. Georges Rebattet, le
successeur en 1952 de Joseph Retinger comme secrétaire général d'un
Mouvement européen dont il a d'ailleurs assaini pour une bonne part le
financement.

Deuxième secousse au milieu des années 1960. L'étau de la presse américaine
(le New York Times et la revue gauchiste Ramparts ) se resserre sur une des
filiales du « trust » Braden-Meyer, le Congrès pour la liberté de la culture
où se côtoyaient des intellectuels antitotalitaires européens de haute
volée - Denis de Rougemont, Manhès Sperber, Franz Borkenau, Ignazio Silone,
Arthur Koestler ou, par éclipses, Malraux et Raymond Aron. Financé par la
CIA au travers de la Fondation Fairfield, le Congrès édite en français l'une
de ses revues les plus prestigieuses, Preuves . Jouant la transparence,
Braden jette alors son pavé dans la mare. « Je suis fier que la CIA soit
immorale », déclare-t-il en 1967 au journal britannique Saturday Evening
Post , auquel il confie des révélations sensationnelles sur le financement
occulte par la CIA du Congrès pour la liberté et sur le rôle d'Irving Brown
dans les milieux syndicaux. Silence radio, en revanche, sur le soutien aux
mouvements européanistes, le secret des secrets...

Ultime rebondissement à partir de juin 1970, quand le conservateur anglais
pro-européen Edward Heath arrive à Downing Street. A sa demande,
l'Information Research Department lance une vaste campagne pour populariser
sous le manteau l'européanisme dans les médias et les milieux politiques
britanniques. En 1973, l'Angleterre fait son entrée dans le Marché commun ;
le 5 juin 1975, 67,2 % des électeurs britanniques ratifient la décision par
référendum. Dans ce renversement de tendance en faveur de l'Europe, un homme
s'est jeté à corps perdu : nul autre que le chef de la station de la CIA de
Londres, Cord Meyer Jr. Ce bon vieux Cord qui remplaçait vingt ans plus tôt
son copain Braden à la tête de la Division des organisations internationales
de la Compagnie.



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*Spécialiste de l'histoire contemporaine, Rémi Kauffer est l'auteur de
plusieurs ouvrages et dernièrement de OAS, histoire d'une guerre
franco-française (Seuil).
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Comprendre

Combat
L'un des trois grands mouvements de résistance de la zone sud fondé en 1941.
Reconnaissant l'autorité de De Gaulle, il garde son indépendance face à Jean
Moulin. En 1943, il fusionne avec Libération et Francs-Tireurs pour former
les Mouvements unis de la Résistance.
Plan Marshall
En américain, European Recovery Program. Ce plan de quatre ans (1948-1954)
était destiné à la reconstruction de l'Europe : 17 pays en ont bénéficié. La
France a reçu 2 815 millions de dollars de l'époque.




Frenay : de la Résistance au fédéralisme

Né en novembre 1905 à Lyon, Henri Frenay suit les cours de Saint-Cyr. En
1934, ce capitaine plein d'avenir fait la connaissance de son aînée Berty
Albrecht, issue de la haute société protestante et déjà très engagée à
gauche. Une gauche vers laquelle évolue Frenay. Excellent germanophone, il
prend dès cette époque la mesure du danger nazi. Fait prisonnier à l'été
1940, il s'évade et jette, dès la fin de l'année, les bases de ce qui
deviendra bientôt Combat, le plus important mouvement de résistance en zone
sud. Aggravés par les dures conditions de la clandestinité, d'impitoyables
conflits, dont « l'affaire suisse », vont l'opposer à Jean Moulin, chargé
par de Gaulle d'unifier les différentes tendances de la Résistance. Au
moment du drame de Caluire, qui conduit à l'arrestation de l'envoyé du
Général, Henri Frenay se trouve à Alger. Ministre des Prisonniers, Déportés
et Réfugiés, il s'entend mal avec le général de Gaulle. [MAIS NOUS L AVONS VU PLUTOT BIEN AVEC LES ANGLO SAXONX] Fondateur en 1945 du
mouvement Socialisme et Liberté, président du bureau exécutif de l'Union
européenne des fédéralistes de 1948 à 1954, Frenay joue à cette époque un
rôle considérable et méconnu.
Brouillé une fois encore avec le général de Gaulle à propos de la Communauté
européenne de défense, il le soutiendra néanmoins à son retour à la tête de
l'Etat en 1958 « pour éviter la guerre civile ».

« SI CELA A ETE SON BUT, A SAVOIR EVITER LE SANG VERSE INUTILEMENT » CELA EN SOI JUSTIFIE L ARRET DES SUBSIDES US »


En 1977, Henri Frenay publie L'Enigme Jean Moulin (Robert Laffont), où il met en cause l'ancien
délégué du Général en France, soulevant de violentes polémiques. Compagnon
de la Libération, il décède en août 1988 à Porto-Vecchio.





A QUI AVONS NOUS AFFAIRE ?UN HOMME QUI DSIRE FAIRE SAVOIR AVANT SON DECES QU IL ACCEPTE DU POGNON DES USA SANS VOULOIR RECONNAITRE LES CONSEQUENCES DE SES ACTES. NOUS L AVONS VU MENTIR AU SUJET DE SES COMPAGNONS DE COMBAT ( c’est le cas de le dire), Mais qui arrête le sien une fois que DE GAULLE est là, pour éviter « LA GUERRE CIVILE » qui eut lieu de toute façon avec un VGE qui fournit des infos aux insurgés de l’ OAS( le petit Clamart), un VGE au service des USA que nous retrouvons quarante ans plus tard en train di fignoler la constitution des EU d’Europe, tout en fréquentant Kissinger chez Hollinger International où il est membre du conseil de surveillance.Faut pas déconner. Stop aux putes de l’ Elysée.

Mettons VGE A LA TRAPPE avec ses copains de l’opus dei, et compagnie. Sa constitution ; il faut l’amender, sinon c’est de la merde wallstreetienne .Rien à voir avec notre culture ni avec nous.
Ce pouilleux de ‘haute naissance’ n’est qu’une nuisance coûteuse ,mélange de ses prétentions merdeuses bourbonniennes, et des aspirations de la tourbe la plus réelle.

"Monnet détestait toute forme de compromission"

AVEC VGE IL AURAIT ETE SERVI.

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Eric Roussel, auteur d'une biographie chez Fayard, donne son point de vue
sur les relations financières du "père de l'Europe" avec les Américains.
Historia - Jean Monnet s'est montré d'une vigilance extrême quant à
l'origine des soutiens financiers américains à son Comité d'action pour les
Etats-Unis d'Europe. En gros, rien de la CIA.

Jean Monnet


Quand les gouvernements britanniques et français invitèrent tous les Etats membres de l’ ONU à participer à la conférence de Londres de novembre 1945, ce fut pour la création de l’Organisation des Nations Unies pour l’enfance et la culture ( UNESCO).Cette conférence allait réunir des personnalités telle LEON BLUM, PRESIDENT DE LA CEPE ( prédécesseur de l’ IFRI), qui allait devenir premier président de la Conférence Générale de l’UNESCO ; Frédéric Juliot Curie, Prix Staline de la Paix en 1951, membre du MRAP, du PC et membre Fondateur de la PUGWASH.Gilbert Murray était présent, entouré de MacLeish, Henri BONNET, ami intime de Jean Monnet et MEMBRE DU CEPE…la délégation anglaise était conduite par Clement Atlee, MEMBRE DU RUSKIN COLLEGE EN 1911,LONDON SCHOOL OF ECONOMICS ( 1913 à 1923) et DE LA FABIAN SOCIETY….

En fait, Jean Monnet, fils d’un négociant en Cognac fit fortune dans la compagnie de la baie d’ Hudson, et termina en représentant autorisé des puissances économiques des USA en ce qui concerne la France en 1939. ( il représenta les USA pour la vente de chasseurs américains, hélas livrés trop tard)

E. R . - Cela ne m'étonne pas : l'homme détestait toute forme de
compromission. Quand le scandale de la revue Preuves a éclaté, Monnet était
furieux. Il s'en est ouvert à François Fontaine, un de ses proches. Il y a
bien eu un soutien financier au Comité d'action pour les Etats-Unis d'Europe
par la Fondation Ford, où Monnet possédait un excellent ami, Sheppard Stone,
mais cette aide n'avait rien de fastueux. La meilleure preuve, c'est que le
Comité d'action n'a cessé de tirer le diable par la queue.
H. - Une aide sans contrepartie ?
E. R. - Ce serait mal connaître Monnet, lequel a toujours agi en pleine
indépendance, politique ou autre.( actionnaire de Lazard Frères, il a eu le privilège de sa marier à MOSCOU en période de purges staliniennes. Quel est le capitaliste autre qui a pu bénéficier de ce privilège ?) Pour créer le Comité d'action, il a
d'ailleurs commencé par engloutir énormément de fonds personnels. A telle
enseigne que sa fortune s'en est trouvée entamée.



Le "coup" de Prague

Le 25 février 1948, le prosoviétique Gottwald remplace le président tchèque
Benes, tenté par le plan Marshall. En janvier 1949, l'Union soviétique
réplique au plan Marshall en fondant le Conseil d'assistance économique
mutuelle (Comecom).


Le blocus de Berlin

Le 23 juin 1948, les Soviétiques bloquent la zone occidentale de Berlin. Les
Etats-Unis mettent en place un pont aérien. Conséquences : l'Otan est fondée
en mai 1949, le pacte de Varsovie le 14 mai 1955.
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Les syndicats US subventionnent FO

David Dubinsky patron de l'ILGWU
Irving Brown de l'AFL
A propos du financement de Force ouvrière, voici ce qu'André Bergeron,
l'ancien secrétaire général de la confédération, déclarait à Historia en
1997 : « Brown m'a remis un peu d'argent pour faire paraître mon journal Le
Territoire syndicaliste . Je me souviens que l'AFL a aussi financé, dès
1948, les 18 délégués régionaux de FO. Cela n'a duré qu'une année. Après,
ces délégués n'étaient plus que 5. Dont moi. Les Américains préféraient
aider directement les fédérations ou les unions départementales que la
confédération elle-même. Cette aide a été beaucoup moins importante qu'on ne
l'a raconté. »



La voix de l'Amérique

Pour contrer la propagande soviétique (Kominform), la CIA finance Radio Free
Europe et Voice of America, deux stations de radio qui émettent vers les
pays d'Europe de l'Est.





"Prendre les Soviétiques à leur propre piège"

Historien et professeur à Yale, Alexis Debat, qui publiera sous peu chez
Flammarion une Histoire secrète de la CIA appelée à faire référence, précise
la stratégie américaine.
Historia - Qui a créé l'American Committee for United Europe ?
Alexis Debat - La paternité théorique en revient à George Kennan,
l'inventeur de la doctrine du containment . Quand on lui demande : « Le
containment , c'est quoi ? » Kennan répond : « C'est la guerre politique »
(political warfare) . L'objectif : prendre les Soviétiques à leur propre jeu
en créant une sorte de Kominform pro-occidental. Entre autres, cela implique
le soutien aux partis politiques démocratiques ainsi qu'à des associations
de tous types, dont les mouvements pro-européens. Les idées de Kennan
débouchent sur la directive NSC 10/2. Comme l'amiral Hillenkoetter, le
premier chef de la CIA, renâcle, on va créer un organisme particulier, l'OPC
de Wisner, lié à la CIA mais autonome.
H. - D'où vient l'argent ?
A. D. - De fondations privées comme la Fondation Ford, la Fondation
Rockefeller, le National Committee for Free Europe, mais surtout, d'une
partie spécifique des fonds du plan Marshall, dits « Fonds Marshall de
contrepartie », alloués dans ce but précis à la CIA.
H. - Et les animateurs des réseaux autour du Comité ?
A. D. - Des gens peu nombreux qui ont pris l'habitude de travailler
ensemble. Ce petit noyau de vieux copains des services spéciaux, des
syndicats ou des deux à la fois, habite dans les mêmes quartiers de New York
et partage la même vision de l'Amérique.
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PostPosted: Mon Jan 15, 2007 1:11 am    Post subject: BENOIT XVI ET LE NOUVEL ORDRE MONDIAL !!! Reply with quote

BENOIT XVI ET LE NOUVEL ORDRE MONDIAL !!!


Chers amis,

EN plus des articles concernant le rachat par Benoît XVI d'un site sacré sur le mon Sion ("le Pape est-il devenu SIONISTE ?", comme se le demandait avec raison Marek), je vous reposte à titre de PREUVE des articles concernant la corruption actuelle du Vatican qui se compromet avec les horribles cocos du Nouvel Ordre Mondial, ces même saffreux cocos qui planifient le puçage des populations, la fin des libertés, du libre-arbitre ety de la vie privée et leur remplacement par un système Big Brother de surveillance, de contrôle et de répression, ceux-là même qui soutiennent des théories nazies (Ubermensch, eugénisme, moyens de dépopulation à l'échelle mondiale) !

Les articles ci-dessous, pour vous... J'y ai glissé des références à la Bible et des réflexions en liaison avec mes affinités de chrétien.

Amicalement, Vic.
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PostPosted: Mon Jan 15, 2007 1:14 am    Post subject: BENOIT XVI APPELLE A UN NOUVEL ORDRE MONDIAL ! Reply with quote

Chers amis,

Il ne s'agit pas d'un hoax ni d'une mauvaise blague : BENOÎT XVI A BIEN APPELE A UN NOUVEL ORDRE MONDIAL, C'EST MIS EN TOUTE LETTRE DANS LE TEXTE CI-DESSOUS ! :affraid: Shocked Twisted Evil

Les mots "Nouvel Ordre Mondial" ne sont pas mis là par hasard, et nous savons ce que ces 3 mots désignent précisément : le Nouvel Ordre Mondial, cette abomination, ce règne de la Bête ! :affraid: Twisted Evil Il est d'ailleurs plus que révélateur que le Pape arrive ensuite avec le mot "ECONOMIQUE" !!! :suspect: :pale:

Tu ne peux servir Dieu et Mammon (dieu de l'argent) à la fois, nous signale la Bible ! OR ICI, C'EST BIEN DE CELA DONT IL EST QUESTION AVEC CE MOT, "ECONOMIQUE" !!! Surprised Shocked

Je sais que l'on va sans doute m'en vouloir d'oser critiquer le Pape, ce "si brave" Benoît XVI ! Rolling Eyes Mais ce Pape-ci ne me dit rien qui vaille : nazi dans sa jeunesse, maître de la congrégation de la foi (un organe "chrétien" qui, par le passé, portait le nom d'INQUISITION et a TORTURE, TUE et BRULE sur le bûcher de nombreux individus, dont des innocents - souvenez-vous de Jeanne d'Arc!)... :pale:

Oh, bien sûr, on lui trouvera des excuses, on se laissera rouler dans la farine, comme d'habitude ! MAIS CEUX QUI ONT VRAIMENT DES YEUX, VERRONT ! Shocked

Seuls quelques éléments viennent gâcher ce texte prononcé pour Noël 2005, mais ils sont d'importance. De grâce, ne les ignorez pas ! Exclamation

Vous n'êtes pas sans savoir que selon la prophétie de Malachie, ce Pape est l'avant-dernier, et lié de près aux événements de l'Apocalypse. Vous n'êtes pas sans savoir non plus que le Vatican est envahi par l'Opus Dei, et que l'Etat du Vatican est un paradis fiscal et financier (eh oui : le Vatican adore Mammon, le dieu de l'argent !)... Twisted Evil SOYEZ DONC PRUDENTS, c'est tout ce que je vous demande ! Exclamation Confused

La déclaration de Benoît XVI, ci-dessous...

Vic.


!!! BENOIT XVI APPELLE A UN NOUVEL ORDRE MONDIAL !!!

Source : http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=2512053_urbi

Benoît XVI s'adresse au monde entier

Le pape Benoît XVI a prononcé dimanche midi le traditionnel message aux chrétiens. Il a ensuite adressé ses voeux au monde entier depuis la place Saint-Pierre à Rome.


25.12.2005

Je vous annonce une grande joie... aujourd’hui vous est né un Sauveur, dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur » (Lc 2, 10-11).

Cette nuit, nous avons écouté à nouveau les paroles de l’Ange aux bergers, et nous avons revécu le climat de cette sainte Nuit, la Nuit de Bethléem, lorsque le Fils de Dieu s’est fait homme et que, naissant dans une pauvre grotte, il a établi sa demeure parmi nous .

En ce jour solennel, retentit l’annonce de l’Ange et pour nous aussi, hommes et femmes du troisième millénaire, c’est une invitation à accueillir le Sauveur. Que l’humanité d’aujourd’hui n’hésite pas à le faire entrer dans ses maisons, dans ses villes, dans ses nations et en tout point de la terre! Il est vrai, qu’au cours du millénaire qui s’est achevé il y a peu, et spécialement pendant les derniers siècles, les progrès accomplis dans le domaine technique et scientifique ont été nombreux; les ressources matérielles dont nous pouvons disposer aujourd’hui sont importantes. L’homme de l’ère technologique risque cependant d’être victime des succès mêmes de son intelligence et des résultats de ses capacités d’action s’il se laisse gagner par une "atrophie spirituelle" , par un vide du cœur. C’est pourquoi il est important qu’il ouvre son esprit et son cœur à la Naissance du Christ, événement de salut capable d’imprimer une espérance renouvelée dans l’existence de tout être humain.


« Homme, éveille-toi: pour toi, Dieu s’est fait homme » (saint Augustin, Discours, 185). Éveille-toi, homme du troisième millénaire! À Noël, le Tout-Puissant s’est fait petit enfant et il demande aide et protection ; sa façon d’être Dieu provoque notre façon d’être hommes; le fait qu’il frappe à nos portes nous interpelle, interpelle notre liberté et nous demande de revoir notre rapport à la vie et notre façon de l’envisager. L’époque moderne est souvent présentée comme une période de réveil du sommeil de la raison, comme la venue de l’humanité à la lumière, émergeant ainsi d’une période obscure. Néanmoins, sans le Christ, la lumière de la raison ne suffit pas à éclairer l’homme et le monde. C’est pourquoi la parole évangélique du jour de Noël – «La lumière véritable qui éclaire tout homme en venant dans le monde» (Jn 1, 9) – retentit plus que jamais comme une annonce du salut pour tous. « Le mystère de l’homme ne s’éclaire vraiment que dans le mystère du Verbe incarné » ( const. Gaudium et spes, n. 22 ). L’Église répète sans se lasser ce message d’espérance repris par le Concile Vatican II, qui s’est achevé il y a exactement quarante ans.


Homme moderne, adulte pourtant parfois faible dans sa pensée et dans sa volonté, laisse-toi prendre par la main par l’Enfant de Bethléem; ne crains pas, aie confiance en Lui! La force vivifiante de sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un nouvel ordre mondial, fondé sur de justes relations éthiques et économiques. Que son amour guide les peuples et éclaire leur conscience commune d’être une «famille» appelée à construire des relations de confiance et de soutien mutuel. L’humanité unie pourra affronter les problèmes nombreux et préoccupants du moment présent: de la menace terroriste aux conditions d’humiliante pauvreté dans laquelle vivent des millions d’êtres humains, de la prolifération des armes aux pandémies et à la dégradation de l’environnement qui menace l’avenir de la planète.


Le Dieu qui s’est fait homme par amour de l’homme soutient ceux qui, en Afrique, agissent en faveur de la paix et du développement intégral, s’opposant aux luttes fratricides, pour que se consolident les transitions politiques actuelles encore fragiles et que soient sauvegardés les droits les plus élémentaires de ceux qui se trouvent dans de tragiques situations humanitaires, comme au Darfour et en d’autres régions de l’Afrique centrale. Qu'Il incite les peuples latino-américains à vivre dans la paix et la concorde. Qu’Il donne courage aux hommes de bonne volonté qui agissent en Terre Sainte, en Iraq, au Liban, où les signes d’espérance qui, s’ils ne manquent pas, attendent d’être confirmés par des comportements inspirés par la loyauté et la sagesse; qu’Il favorise les processus de dialogue dans la Péninsule coréenne et dans d’autres Pays d’Asie, pour que, les dangereuses divergences étant surmontées, on parvienne, dans un esprit amical, à des solutions de paix cohérentes, ce qui est tant attendu de ces populations.

À Noël, notre esprit s’ouvre à l’espérance en contemplant la gloire divine cachée dans la pauvreté d’un Enfant enveloppé de langes et déposé dans une mangeoire : c’est le Créateur de l’univers réduit à l’impuissance d’un nouveau-né. Accepter un tel paradoxe, le paradoxe de Noël, c’est découvrir la Vérité qui rend libres, l’Amour qui transforme l’existence. Dans la Nuit de Bethléem, le Rédempteur se fait l’un de nous, pour être notre compagnon sur les routes de l’histoire semées d’embûches. Accueillons la main qu’il nous tend: c’est une main qui ne veut rien nous enlever, mais seulement donner.


Avec les bergers, entrons dans la grotte de Bethléem sous le regard aimant de Marie, témoin silencieux de cette prodigieuse naissance. Qu’elle nous aide à vivre un bon Noël; qu’elle nous apprenne à conserver dans notre cœur le mystère de Dieu qui, pour nous, s’est fait homme; qu’elle nous conduise à être dans le monde des témoins de sa vérité, de son amour, de sa paix.


Benoît XVI en français:

" Heureuse et sainte fête de Noël ! Que le Christ Sauveur vous garde dans l’espérance et qu’il vous fasse le don de la paix profonde ! "
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PostPosted: Mon Jan 15, 2007 1:16 am    Post subject: BENOIT XVI RECOIT HENRY KISSINGER !!! Reply with quote

NOUVEL ORDRE MONDIAL : : BENOIT XVI A RECU HENRI KISSINGER EN PRIVE !!!


Chers amis,


Je ne m'attarderai pas trop longtemps en commentaires face à l'événement ci-dessous... Confused

Benoît XVI, le nouveau Pape qui, comme je vous l'ai déjà signalé, a appelé à un "NOUVEL ORODRE MONDIAL" (voir ci-dessus), a donné un DEUXIEME signal TRES CLAIR à ceux qui sont attentifs en RENCONTRANT EN REUNION PRIVEE HENRI KISSINGER !!! Twisted Evil Shocked Surprised

Qui est donc Henri Kissinger ? Question Un ancien conseiller d'Etat et ministre du gouvernement américain, ET QUI AGIT TOUJOURS AUJOURD'HUI ! Twisted Evil Ce sinistre individu fait partie bien entendu de certaines instances bien connues du Nouvel Ordre Mondial, et est ACCUSE par plusieurs pays d'avoir commandité des CRIMES CONTRE L'HUMANITE ! :cccc: Cet individu est extrêmement dangereux et MALVEILLANT. Twisted Evil Ceci vous est confirmé dans certaines parties de l'article ci-dessous... Shocked Exclamation

Bref, pour que le Pape et Henri Kissinger aient un entretien privé, c'est qu'il y a matière POLITIQUE à discuter, et pas de la politique saine, malheureusement... :suspect: (et comme Kissinger n'est pas catholique, il y a peu de chances qu'il soit venu pour se confesser Rolling Eyes ).

Je n'irai pas plus loin. Je fais appel à votre INTELLIGENCE et à vos PRIERES. Priez pour que le Saint-Esprit vous éclaire quant à ces faits plus que troublants : un pape qui appelle publiquement à un nouvel ordre mondial, et qui rencontre l'un des individus les plus maléfiques de la planète lors d'un entretien privé... :suspect: Shocked

L'article, ci-dessous...

Bonne lecture, et bonne réflexion ! Wink Vic.


Source : http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=2809061_kissinger

Benoît XVI reçoit Henri Kissinger

Castel Gandolfo, le 28 septembre 2006 - Le pape Benoît XVI a reçu ce matin en audience privée l'ancien secrétaire d'Etat américain Henry Kissinger dans sa résidence d'été de Castel Gandolfo, près de Rome, selon l'information du bureau de presse du Vatican.

Benoît XVI reçoit Henri Kissinger

Le pape Benoît XVI a reçu ce matin en audience privée l'ancien secrétaire d'Etat américain Henry Kissinger dans sa résidence d'été de Castel Gandolfo, près de Rome a annoncé le Vatican.

Henry Kissinger, qui se trouve depuis plusieurs jours à Rome, a été reçu en début de semaine par le chef du gouvernement italien Romano Prodi et le président de la République Giorgio Napolitano.

L'audience accordée à l'ancien secrétaire d'Etat américain sera l'une des dernières à l'agenda du Saint Père avant son retour au Vatican prévu mardi 3 octobre.

Installé à Castel Gandolfo le 28 juillet après trois semaines de vacances dans le Val D'Aoste, le pape Benoît XVI n'a quitté sa résidence d'été que pour un pélerinage de quelques heures le 31 août au sanctuaire de Manoppello, un voyage de six jours en Bavière ainsi que pour les audiences générales publiques du mercredi au Vatican.



Biographie de Henri Kissinger:

Henry Kissinger est né près de Nuremberg, dans une famille juive de la classe moyenne. Sa famille fuit le nazisme et s'installe aux Etats-Unis en 1938. Après la guerre, Henry Kissinger étudie à Harvard et devient professeur de sciences politiques. Conseiller en politique étrangère des présidents D. Eisenhower, J.F. Kennedy et L.B. Johnson, il est, à partir de 1969, le bras droit de Nixon pour les affaires de sécurité nationale. Il participe aux discussions sur la non-prolifération des armes stratégiques avec l'URSS.

Il reçoit le prix Nobel de la paix en 1973 pour des actions en faveur de la paix au Vietnam aujourd'hui controversées. Il avait alors affirmé: « Jean-Paul II était un des plus grands hommes du siècle précédent. Peut-être le plus grand. » (John Paul II was one of the greatest men of the last century. Perhaps the greatest.)

"Grâce à des entrevues avec Mikhail Gorbachev, Henry Kissinger, Wojciech Jaruzelski, Lech Walesa et Zbigniew Brzezinski, vous comprendrez le rôle primordial du Pape dans l’environnement politique qui ont mené à la chute du communisme en 1989." avait déclaré Henri Kissinger.

Suite à la "déclassification" de certains documents des services secrets américains, Henry Kissinger se voit aujourd'hui attribuer la responsabilité d'exactions comme paradoxalement l'enlisement du conflit vietnamien s'étendant même au Cambodge ou le génocide du Timor-Oriental. Il est également soupçonné d'avoir eu un rôle de première importance dans la création du plan 'Condor', soutien aux dictatures militaires d'Amérique latine (Chili, Bolivie, Brésil, Paraguay, Uruguay, Argentine).

Henry Kissinger reste le symbole d'une Amérique conquérante, éclairée et intransigeante.

Très d'actualité le souvenir de la remise du Prix Felix Houphouet-Boigny pour la recherche de la paix 2003 à Mgr Etchegaray et à Mustafa Ceric, Grand Mufti de Bosnie.

Le Grand Mufti de Bosnie, Mustafa Ceric et le Cardinal Roger Etchegaray, ancien Président du Conseil pontifical Justice et Paix, ont reçu le 21 septembre au siège de l’UNESCO, dont le président n'était autre qu'Henry Kissinger, le Prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix 2003.

De nombreuses personnalités religieuses, cardinaux, imams et rabbins, des académiciens et des personnalités des communautés politiques et culturelles ont assisté à cette cérémonie. Le Président du Conseil des ministres de Bosnie Herzégovine, Adnan Terzic, des représentants de chefs d’Etat, ainsi que des délégations ministérielles étaient présents. Du côté africain, il convient de signaler la présence de l’ancien Président de la République de Côte d’Ivoire, Henri Konan Bédié, et de l’ancien Premier ministre de ce pays, Alassane Dramane Ouattara.

En annonçant le choix du jury, son Président Henry Kissinger a déclaré ces paroles prophétiques : « Ces deux personnalités religieuses ont été choisies en reconnaissance de leur action en faveur du dialogue entre les religions, de la tolérance et de la paix. Le jury considère que la réconciliation entre les perspectives religieuses sera un des grands défis de notre temps ». Gageons que le pape Benoît XVI sera sur la liste des prochains lauréats pour ses efforts exceptionnels quand au dialogue interreligieux et pour sa tolérance après les attaques injustifiées dont il vient d'être victime.

Le Cardinal Roger Etchegaray a été Président du Conseil pontifical Justice et Paix (1984-1998). Depuis 1984, il s’est rendu, au nom du Pape Jean-Paul II, dans de nombreuses zones en crise. C’est ainsi qu’il a participé, par exemple, aux négociations visant à mettre fin au siège de la Basilique de la Nativité, à Bethléem, en mai 2002, et qu’il s’est rendu en Iraq en 1986, en 1998 et en février 2003, toujours envoyé par le Pape Jean-Paul II, en vue de tenter d’éviter la guerre. Récemment le pape Benoît XVI lui a confié des missions délicates dont une au Liban.



Sources: Vatican - archives E.S.M.

Eucharistie sacrement de la miséricorde 28.09.2006 - BENOÎT XVI
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PostPosted: Mon Jan 15, 2007 1:23 am    Post subject: KISSINGER, CONSEILLER DU PAPE !!! Reply with quote

!!! HENRY KISSINGER, CONSEILLER DU PAPE !!!


Chers amis,


Nous en apprenons encore une bien "bonne" (mauvaise serait en réalité le terme approprié) :

LE PAPE BENOIT XVI (qui, rappelons-le, a appelé à un NOUVEL ORDRE MONDIAL dans son discours de Noël 2005) A INVITE RECEMMENT HENRY KISSINGER (l'un des membres les plus actifs et démoniaques du Nouvel Ordre Mondial, et poursuivi dans certains pays pour crimes contre l'humanité !)... Shocked

LE BUT NE SERAIT AUTRE... QUE DE FAIRE DE KISSINGER L'UN DE SES CONSEILLERS PRIVES !!! Twisted Evil ET KISSINGER AURAIT ACCEPTE !!! Surprised Twisted Evil

L'article ci-dessous nous le signale, avec beaucoup de précautions toutefois...

Cet article est absolument CAPITAL, car il nous signale que, déjà sous Jean-Paul II, des contacts avec d'éminentes charognes du Nouvel Ordre Mondial ont eu lieu à plusieurs reprises !!! Shocked Et vous allez voir que les charognes en question font partie de la haute société et de l'élite mondiale : Henry Kissinger (membre du Council on Foreign Relations, de la Commission Trilatérale et du groupe Bilderberg), Zbigniew Brzezinski (fondateur de la Commission Trilatérale et membre du Council on Foreign Relations), Paul Wolfowitz (membre de la Commission trilatérale et qui se trouve à la tête de la banque mondiale), des directeurs du Fonds Monétaire International, de la banque mondiale, de la banque centrale d'Allemagne... bref, DES PERSONNAGES ET DES INSTANCES QUI FONT PARTIE INTEGRANTE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL !!! Surprised Twisted Evil Exclamation

Une chose en tout cas est certaine : le Pape, qui est censé être le successeur du Christ (un être spirituel, donc), est mêlé de façon régulière et récurrente aux affaires du MONDE (géopolitique, mondialisation, politique, finances...), prend soin de son image médiatique et fraye avec les plus gros poissons du Nouvel Ordre Mondial (des poissons dangereux et aux dents longues) ! Surprised Shocked Exclamation

Voilà donc un indice qui nous montre que le Vatican est de plus en plus mêlé à des histoires de géopolitique et de politique, et qu'il existe bel et bien un contact entre LE NOUVEL ORDRE MONDIAL ET LE SAINT-SIEGE ! Shocked Twisted Evil Exclamation

Ceci n'augure rien de bon, même si l'article ci-dessous fait passer le tout (évidemment Rolling Eyes ) pour un besoin du Pape de "conseils éclairés" de différents "experts" afin de mieux s'orienter dans ses actions. ET MOI QUI CROYAIT ENCORE QUE C'ETAIT LE SAINT-ESPRIT QUI ETAIT SUPPOSE LE GUIDER ! Confused Quelle désillusion ! Rolling Eyes

L'article-choc, ci-dessous... Voilà. J'ai fait tout ce que je pouvais pour tenter de vous faire percevoir la gravité de ce qui se passe au sein de cette Eglise apostasiée.

Bonne lecture, bonne réflexion... ET BONNE INSURRECTION, SURTOUT ! Mad Mad Mad Vic.


Source : http://ncregister.com/site/article/1370/

KISSINGER VA SERVIR DE CONSEILLER PAPAL ?

Le Pape Benoît XVI a invité Henry Kissinger, l’ancien conseiller de Richard Nixon, afin qu’il soit un conseiller politique, et celui-ci a accepté.

PAR EDOUARD PENTIN, correspondant du Register

Numéro du 26 novembre au 2 décembre 2006

Posté le 22/11/2006 à 8:00 AM

LA CITE DU VATICAN – A travers le cours de sa longue et controversée carrière, l'ancien secrétaire d'Etat des Etats-Unis Henry Kissinger a reçu beaucoup de titres. A présent, il en aurait un autre - conseiller du Pape.

Selon le journal italien La Stampa, le pape Benoît XVI a invité l'ancien conseiller de Richard Nixon qui a 83 ans à devenir un conseiller politique, et Kissinger a accepté.

Citant une source diplomatique « qui fait autorité » auprès du Saint-siège, ce journal a rapporté le 4 novembre qu’on a demandé au lauréat du Nobel durant une récente audience privée avec le Saint Père à faire partie « d'un comité consultatif » papal concernant les affaires étrangères et politiques.

Alors que le Register était sous presse, le bureau de Kissinger ne pouvait pas confirmer ou nier le rapport. La Stampa s'en est tenue à son histoire, bien que la presse italienne soit moins rigoureuse dans son authentification des faits que la presse américaine.

Si c’est vrai, il y a spéculation (afin de savoir) sur quelles questions Kissinger conseillerait le Saint Père. Les relations avec l'Islam, la Palestine et Israël, et l'Irak - Kissinger a critiqué la conduite de la guerre mais s'oppose à un retrait rapide - sont susceptibles de se trouver en tête de l’agenda.

On a également spéculé que, en raison de l'hostilité musulmane contre le discours de Benoît XVI prononcé à Regensburg, Kissinger pourrait fournir des conseils sur comment traiter avec un monde islamique de plus en plus grincheux.

En outre, tout comme le pape, Kissinger a analysé les défis de la mondialisation et pourrait également fournir des conseils dans ce secteur.

« L'idée [de son entretien] semble être une bonne idée, » a dit le journaliste vétéran du Vatican Sandro Magister. « Mais ce serait également une bonne idée de consulter d'autres experts en géopolitique avec des orientations différentes. »

Parmi les conseillers experts potentiels ayant des perspectives différentes, Magister a énuméré le philosophe catholique et ancien diplomate Michael Novak ; Bernard Lewis, professeur des études concernant le Proche-Orient à l'université de Princeton ; et des experts en matière de politique étrangère tels que Charles Kupchan et G. John Ikenberry.


Le conseil d’un expert

Le recrutement de Kissinger ne serait pas sans précédent. Des experts d'une variété de disciplines différentes, y compris du royaume des sciences économiques, en politique et en philosophie, sont régulièrement invités à conseiller les papes et les responsables du Vatican concernant des affaires courantes.

Le Pape Jean-Paul II était un proche ami de Zbigniew Brzezinski, le conseiller de la sécurité nationale du Président Jimmy Carter né en Pologne, en partie parce que tous les deux avaient un héritage polonais commun (cependant, ceci a fait suspecter les Soviétiques que le Vatican avait « fixé » l'élection de Karol Wojtyla, laquelle s'est produite pendant la présidence de Carter).

De même que Jean-Paul et Brzezinski, Benoît et Kissinger sont d’un âge proche et sont tous deux nés en Bavière (étant un Juif, Kissinger et sa famille fuirent l’Allemagne nazie avant la deuxième guerre mondiale).

Ces dernières années, d'autres figures invitées à partager leur expertise avec le Saint-Siège ont inclus Paul Wolfowitz, un conseiller de l'ancien Président Bush et à présent président de la banque mondiale ; Michel Camdessus, ancien directeur du Fonds monétaire international ; l’économiste américain Jeffrey Sachs et Hans Tietmeyer, ancien gouverneur de la banque centrale d'Allemagne.

Les académies pontificales font aussi régulièrement appel aux lumières d’universitaires en tant que conseillers, tels que les lauréats du Nobel Gary Becker, le successeur de Milton Friedman à l'école de Chicago des sciences économiques, et une chercheuse médicale italienne, Rita Levi-Montalcini.

Dans des commentaires effectués au Register, Novak a indiqué que « beaucoup, et peut-être la plupart » de ces experts ne sont pas catholiques, mais que le Pape « peut faire entrer certains experts auxquels il veut parler, ou dont il entend parler du travail, afin de discuter en petit groupe. »

Novak dit ceci est vrai à la fois pour Benoît XVI et Jean-Paul II, qu'il a décrits comme étant « très curieux d’esprit et avides de recherche. »

Cependant, n'importe quelle nomination de Kissinger est susceptible de causer un malaise. Une station de radio iranienne rapporte déjà la nouvelle comme « une conspiration du Pape et des Juifs, » tandis que d'autres s'opposent à ce que le Pape consulte quelqu'un qui a été largement identifié avec l'école d'analyse politique realpolitik, une approche qui place les considérations pratiques avant la morale.


« Des voix différentes »

Pourtant, tout comme le Pape Jean-Paul II, Benoît XVI gagne de la reconnaissance pour sa habileté intellectuelle et sa capacité de discuter de problèmes internationaux avec un éventail varié de personnalités du monde, un éventail qui s'étend du Dalai Lama à la défunte polémiste athée Oriana Fallaci ou à Mustapha Cherif, un philosophe musulman algérien qu'il a rencontré ce mois-ci.

Un « tel entretien montrerait vraiment que Benoît XVI est contraire à son image médiatique, en tant que quelqu'un qui est disposé à écouter d'autres voix qui ne sont pas en accord avec ses vues, » a dit un diplomate du Saint-Siège concernant l'enrôlement supposé de Kissinger en tant que conseiller papal. « Il est toujours utile d'entendre différentes voix qui offrent différents points de vue. »

Edouard Pentin, qui écrit de Rome.
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